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This is Halloween (Mélodie, PNJ)

Ville de Langdorf

Place de la fontaine - 31/10/2024


(PNJ joués par William Dyers)


Maître du Jeu (MJ)

31-10-2024 21:38:28


Soirée du 31 octobre, Langdorf

En cette soirée si spéciale, la nuit est déjà tombée depuis un petit moment. La ville est éclairée par les néons des devantures, les spots au sommet des bâtiments, les lampadaires un peu partout dans la rue. Dans le centre, on se croirait en plein jour et même à proximités de la ville, la plupart des lieux sont encore bien éclairés. L'air est froid sans être glaciale, annonciateur de l'hiver qui arrive.

Bien que la date soit propice aux costumes, ils restent minoritaires et pas un enfant ne se risque à parcourir les rues dans le but de collecter des bonbons. Après tout, à Langdorf, vivent de vrais monstres. En dépit de cela, la soirée ressemble à toutes les autres. Il y a de la vie, des passants, des habitants qui vont au travail ou qui en viennent. Quelques marchés sont encore ouvert, principalement illégaux.

Cela vaut aussi pour la place de la fontaine. Vivante, mais loin de réunir une vraie assemblée. Quelques personnes sont assises ici et là, quelques unes sont déguisés, on entends des discussions et des rires ci et là... Une soirée tout à fait normale en somme


Mélodie Mild

31-10-2024 21:57:38


En cette nuit d'Halloween, Mélodie rentrait un petit peu tard du travail pour une fois. Les dossiers n'en finissaient pas... mais fort heureusement, rien de bien dramatique à gérer, Langdorf est plutôt sage.

Halloween était une période qu'elle avait pu fêter une fois, un jour où elle s'était décidée à fuguer de son patelin paumé au milieu de nulle part pour s'y essayer à l'âge de 16 ans. Même si tout ceci s'était terminé en garde à vue, quand la boutique où elle avait volé les costumes s'est décidée à appeler la police... Anaïs était venue la chercher à l'époque.

Tout ceci était bien loin derrière elle désormais. Dans tous les cas, comme souvent, elle coupe par la place de la fontaine pour rejoindre son appartement un peu plus rapidement. La jeune femme se frottait déjà les mains, pressée de se retrouver au chaud chez elle.

la tenue

Maître du Jeu (MJ)

31-10-2024 22:19:51


Jusque là, rien ne dénote dans la soirée. Quelques citoyens reconnaissent le maire de la ville et la salue sans trop insister. Quelques uns tentent bien d'ajouter quelques mots, mais sans non plus chercher le dialogue. Dans la rue, il y a de tout : de jolies jeunes femmes monnayant leurs attributs, des anonymes déguisés, des hommes en costume - certainement d'une mafia - en train de charger ou de décharger du matériel. La vie à Langdorf en somme.


Soudain alors, que Mélodie avance en ville, il y a un changement. Un changement net, immédiat, comme si, le temps d'un clignement d'yeux tout avait changé. Elle n'est plus dans la rue mais devant un petit escalier en bois menant à une estrade. Elle n'est plus dans la nuit éclairée par les lumières de la ville, mais bien en plein jour, au petit matin vu la position du soleil qui semble encore basse. Elle n'est plus vêtue de son manteau chaud, mais d'un costume noir et blanc, très bien mis et ajusté.

Autour d'elle, un endroit familier et inconnu dans le même temps. L'estrade semble être au milieu d'une rue de Langdorf, devant un bâtiment immense. Il y a énormément de gens dans la rue, à perte de vue, comme si toute la ville, mais même les habitants d'autres villes s'étaient amassés autour de l'estrade. Et au premier rang, déjà visible, debout dans la foule, se trouvent des personnes importantes pour Mélodie : Anaïs, Nathan, Zeta...

William Dyers est présent, mais face à elle, réajustant le col du maire, comme dans un soucis de perfection total. Il semble avoir un regard plus distant, semblant attendre beaucoup de la jeune femme et il lui dit simplement, en lui tapant l'épaule.

  • Vas y, impressionnes moi. Va leur parler.

Mélodie Mild

31-10-2024 23:43:20


Les gens, elle les connaissaient plutôt bien effectivement, elle avait même taper dans certaines. Il y avait des avantages à toujours prendre un trajet similaire. Certes il étai plus facile d'organiser des embuscade.. mais il y avait aussi le fait de repérer facilement le danger, et aussi d'être aider par les personnes qu'elle croisait tout les jours en cas de pépin.

Mélodie refuse poliment d'un non de la main l'avance d'une prostituée à côté de la fontaine, lorsqu'elle se mit à bâiller. Elle ferme les yeux, met une main devant sa bouche.. puis sans quelques choses d'étranges se passer, en les rouvrant, le sol étai différent, la lumière aussi. Tout étai différent en faite! Cela la fit froncer des sourcils, peinant à comprendre ce qu'il lui arrivait.

Il y avait beau y avoir de la foule derrière elle, c'est William qui m'interpelle le plus, probablement parce qu'il étai entrain de palpé sa veste à la recherche d'imperfection

  • Qu... Quoi? Mais je suis où?

Vraiment confuse parce qu'il se passait, elle tentait de cligner plusieurs fois des yeux, comme pour se réveiller. Cela fut un échec, et à la place d'une réponse, son patron s'exprime de manière énigmatique et froid à la fois.

  • Leurs parlé?

D'habitude pour les grands discours, elle avait au moins le temps de se prépare. Mais à quoi bon penser à un discours maintenant, elle avait déjà aucune idée de ce qu'elle faisait là! William s'écarte assez pour dévoiler cette immense foule dont elle reconnaissait bizarrement presque tout les visages malgré leurs nombre impressionnant. Un grand silence s'impose tendis que tout le monde attendait qu'elle prenne la parole.

  • Heu... M-mes amis, c'est un plaisir de vous voir, je suis heureuse de vous annoncer que Langdorf à retrouver de la stabilité, tout en conservant ce qui rend notre ville si attirante, la liberté. Nous sommes prêt désormais à nous concentrer sur la prospérité et l'enrichissement de nos commerces et accueillir toujours plus de diversité, afin de conserver notre dynamisme.. Nous pourront... ... Mais.. qu'es ce que je fais ici..?

Réalise t-elle au milieu de son discours, tout ceci n'avait pas de sens. De manière confuse, Mélodie se tourne vers Dyers, à la fois pour prendre la température de sa prise de parole, mais surtout pour lui faire comprendre que quelque chose ne va pas


Maître du Jeu (MJ)

01-11-2024 00:08:21


Un silence règne dans l'assemblée. Tous les regards sont braqués sur Mélodie, autant avant qu'elle prenne la parole que pendant. Pas de réaction, pas de murmures, rien, même lorsque son discours prend une étrange direction en réalisant un peu mieux la scène.

C'est un soda lancé bien au dessus du maire qui déclenche la première réaction. Une silhouette dans la foule qui viens de jeter son coca dans une verre en carton d'un fast food. Il attérit au loin, dans un bruit discret et humide. Le lancer est clairement raté, mais il suffit à déclencher la réaction de la foule.

Tout le monde se met soudain à huer Mélodie, à la huer de manière véhémente. Au premier rang, c'est la consternation. Les regards détournés, les expressions de déception, des pleurs même pour Anaïs que Nathan tente de réconforter. Même William fait un petit non de la tête en soupirant. Les protestations fusent alors.

- Bouh ! A bat le maire !

- Elle n'est bonne à rien !

- Qu'on la condamne au bûcher !

Et malgré les protestations de la foule, Mélodie entend clairement les paroles de ses proches, comme si leur voix - pourtant murmuré - portait au dessus de celle de la foule.

Anais - Qu'est ce que j'ai fais pour mérité une chose pareille ? Pourquoi ? Pourquoi moi ?

Nathan - Vraiment, je pensais pas qu'elle serait capable de ça.

William - Je savais que j'aurais dû mettre un homme à cette place


Mélodie Mild

01-11-2024 00:24:20


Par pur réflex, Mélodie baisse légèrement la tête et les épaules en voyant la canette être lancé vers elle, bien que celle ci ne l'a touche pas du tout.

La réaction de la foule est désastreuse! Tout le monde la hue! En vérité, cela pourrait être choquant pour beaucoup, mais Mélodie n'était jamais vraiment devenu maire pour la gloire, ou être acclamée par la foule. Ce qui la devastait, c'était plutôt la réaction d'Anaïs qui concrètement, étai la dernière personne qui lui donnait encore un petit peu d'espoir dans ce monde... Sans elle, elle se serait sûrement déjà tiré une balle.

Mais qu'es-ce qu'il vous arrive.. qu'est ce que j'ai fait..?

En plus de ça, tout ses proches rajoutait une couche d'insatisfaction. Le pire étant que tout ces gens lui semblait vraiment familier.. comme si elle décevait littéralement toute les personnes dont elle n'avait pas rien à foutre. Les larme lui montait un petit peu, mais l'adrénaline prenait le pas par dessus tout. À Langdorf, une foule en colère ce n'es pas à prendre à la léger. Et là proposition du bûcher n'avait rien d'une hyperbole

Donc plutôt que de se confronter à ça et rester inactive, Mélodie fait quelques pas en arrière et dépasse William qui l'observait en croisant les bras. D'instinct, elle s'enfuit vers ce grand bâtiment qui ne lui inspirait rien et franchi précipitamment la porte.

Une fois l'entrée claqué, elle fait barrage avec son propre corps, collé à la porte. Mélodie soupir longuement en essayant de comprendre ce qu'il pouvait bien se passer


Maître du Jeu (MJ)

01-11-2024 13:32:19


Les huées se font de plus en plus fort jusqu'à la fermeture de la porte, offrant un instant de répit à la jeune femme. L'intérieur du bâtiment est très étrange, rien de ce que Mélodie a pu voir. La grande pièce principale s'étant en longueur avec deux rangée de large colonne en pierres suintantes. Il y a des traces de verdure, principalement de la mousse ou des champignon. Le sol aussi est fait de roche taillées, polies. Tout inspire l'intérieur d'un temple ou d'un tombeau. Pourtant, la porte est bien une porte en bois assez classique et les murs autour semblent bien plus contemporain.

Les protestations reviennent, étouffés par la porte, mais néanmoins présentes. Puis il y a un long son, comme un cor ou une trompette qui résonne fort, comme un appel qui résonnerait à très longue distance. La température monte d'un coup, de plusieurs degré, assez pour être notable. Par les fenêtres, la lumière du soleil devient rouge, les hués se font plus forte, mais ce n'est pas le plus inquiétant dans tout cela.

Le dos collé contre la porte, Mélodie peut sentir qu'on commence à tembouriner à la porte. Par la lumière qui filtre par la fenêtre, elle peut aussi voir la foule s'amasser, levant des objets en tout genre : bouteille, fourche, couteau, pelle... On peut entendre les protestation s'intensifier :

- Tuons là, c'est une sorcière

- Oui, brûlons là ! Brulôns là !

Mais le pire, c'est l'ombre gigantesque qui vient se former par la lumière qui filtre, comme un géant humanoïde qui viendrait occulter la lumière entrante du soleil et qui vient glacer le sang de Mélodie, lui inspirant une horreur sans nom.


Mélodie Mild

01-11-2024 14:52:17


Durant ce moment de répit, Mélodie constate l'architecture particulière de cette endroit. D'une certaine façon, elle était un petit peu rassurée que tout ne soit pas en bois.. et que ce tombeau mystérieux se transforme en un gigantesque feu de joie.

Cependant cette instant de calme disparait bien vite lorsqu'elle sent quelque chose frapper son dos à travers la porte! Dans une sursaut, elle s'éloigne de celle ci en se retournant pour la garder dans son champ de vision. Qu'importe la raison, ces gens étaient en colère et Mélodie était leurs Jeanne d'Arc

Par les fenêtres, des ombres menaçante dansait en proliférant des menaces, accentuant son sentiment de danger déjà bien présent. Mais le pire était cette silhouette grandissante qui semblait sortir par le micro interstice en dessous de la porte. Comme si quelque chose d'effrayant s'approchait peu à peu de l'entrée, jusqu'à s'invité dans ce refuge temporaire.

Son premier réflexe était de sortir son arme pour se défendre, mais son sac lui aussi avait disparu. Il ne lui reste plus qu'a courir aussi vite qu'elle le peut! Tant pis si elle ne peut faire face à ce cauchemar imminant, Mélodie traverse cet interminable grande pièce, à la recherche d'une échappatoire ou de quelque chose pour se défendre


Maître du Jeu (MJ)

01-11-2024 16:06:27


Mélodie se redresse et elle fait bien. Une hache perfore la porte là où se trouvait sa tête, laissant une légère ouverture dans la porte par laquelle elle peut voir des visages enragés d'une colère noire. D'autre coups sont donnés dans la porte qui tient bon encore un peu.

Malheureusement, les fenêtres ne sont pas aussi solides et volent en éclat alors qu'on y lance des pavés. Mélodie a juste le temps de voir quelques personnes entrer dans la bâtiment par les ouvertures ainsi créées.

La salle qu'elle traverse est tout en longueur. Il y a quelques portes sur les côtés, mais vu les ombres qui s'agitent sous celles-ci, nul besoin de se demander si l'une d'elle constituerait une cache efficace. Les quelques fenêtres qu'elle peut voir vomissent des êtres, visiblement des villageois armées sommairement, mais en grand nombre et qui la pointent du doigt dès qu'il la voient.

- Elle est là !

- Attrapez-la !

- Qu'on la tue !

Au bout de la salle, un escalier en pierre donne sur l'étage et se sépare en deux, un chemin à gauche, l'autre à droite. Seul indicateur pouvant offrir une différence : une indication gravée dans le mur, écrite avec des sinogrammes asiatiques qui, pour une raison obscure, parviennent à être compris :

<= VIE

MORT =>


Mélodie Mild

01-11-2024 16:33:48


Le coup de hache vient celée l'idée que s'enfuir serait judicieux. Dans le feu de l'action elle jette:

  • Aller vous faire enculer!!

Pour se donner un petit peu de courage. La vérité étant qu'elle est tout simplement morte de peur. En tout cas au milieu de sa course, elle est interrompue par un pavé qui avait fini sa route juste devant elle, parmi les bri de verre qui avait volé en éclat jusqu'ici. Au cas ou, elle s'en saisie puis continue vers ce mystérieux escalier en essayant de se retourner le moins possible.

Arrivée à ce choix de direction, Mélodie défait un peu sa cravate afin s'oxygéner plus facilement. Curieusement, la direction qu'elle devait prendre lui apparaissait très naturellement. Le chemin de la mort. Ce n'était pas la première fois qu'elle s'était retrouvé confronté à ce dilemme. Revenir habiter à Langdorf après la mort de ses parents, reprendre le bar après l'incendie du Dernier Verre, accepter de devenir la maire de cette ville.. Si elle l'avait souhaité, elle aurait pu à mainte reprise prendre une direction de vie bien plus tranquille.

C'est pourquoi la jeune barmaid prend la direction de la mort instinctivement. Un choix inconscient puisque de toute façon, elle ne pouvait pas lire clairement ce qui était écrit


Maître du Jeu (MJ)

01-11-2024 16:52:08


De plus en plus de monde commence à entrer dans la longue pièce et les portes qui étaient fermées s'ouvrent pour faire déferler un peu plus de personne dans cette pièce. La chaleur est d'ailleurs monté d'un cran, autant par la course effrénée de Mélodie que par l'air qui commence même à avoir une légère odeur de souffre qui prend à la gorge.

Prenant la droite, elle grimpe encore quelques marches, elle arrive dans un couloir longeant des fenêtres. Deux portes sur les côtés peuvent donne l'impression d'un asile, avant de voir l'une d'elle se faire perforée par une hache aussi. Idem pour les vitres, des silhouettes font rapidement comprendre que les gens sont déterminé au point d'avoir grimpé le mur pour tenter de pénétrer le bâtiment par l'étage.

On peut d'ailleurs voir par la fenêtre une vue sur la ville depuis une hauteur suffisante pour laisser voir la créature faisant de l'ombre au soleil. Dans un ciel rouge traversé de nuages noirs, se présente une créature gigantesque, plus grande que tout ce que le maire a pu voir. Plus grande encore que le Dernier Verre, une créature titanesque, décharnée, portant des bois comme ceux des cerfs. Elle est immobile, surplombant la ville, mais quelque chose laisse penser qu'elle regarde la jeune femme.

Pour autant, le meilleur échappatoire semble la lourde porte au fond du couloir. Une lourde porte en métal, semblable à celle des sous-marins avec une petite lucarne d'où on voit rien et qui se trouve être juste assez entrouverte pour espérer pouvoir y entrer... Reste qu'il y a deux villageois sur la route, les yeux injectés de sang et bien décidé à en découdre avec Mélodie.


Mélodie Mild

01-11-2024 17:18:06


Mélodie aurait aimé continué à courir encore et encore sans s'arrêté, mais comment ne pas s'arrêté face à cet immense monstre qu'elle pouvait apercevoir par la fenêtre? Cette simple vision lui glaçait le sang et la laissait dans un état de choc, n'arrivant plus à quitter des yeux cette être qui semblait la fixer.

Cela dur juste assez de temps pour que le bougre qui enfonçait sa porte à coup de hache parvienne à l'ouvrir, et envoi un coup de hache dans sa direction! In extremis, elle se recule juste assez pour que la lame ne puisse que tailladé son arcade sourcilière et coupé une mèche au passage. Ne voulant pas lui laisser une nouvelle opportunité, elle fracasse le crâne du type avec le pavé qu'elle a récupéré plus tôt, assez fort pour que celui ci s'effrite en plusieurs morceaux entre ses doigts.

Tout en couvrant avec une main la zone autour de son oeil qui commençait à saigner, Mélodie saisie le manche de la hache de la personne qu'elle venait d'assomer puis se dirige vers l'espèce de porte en acier. Car elle ne pouvait pas non plus se permettre de prendre du temps pour se morfondre! Derrière elle, la foule finirait bien par monter, et les villageois finirait bien par atteindre les fenêtres de cette étages..

Avant cela, il allait falloir s'occuper des deux gêneurs qui lui barrait la route. La jeune femme se prépare donc à se défendre, resserrant ses mains autour du manche de sa hache, tremblante. Elle attend que l'un d'entre eux prenne l'initiative avant d'agir


Maître du Jeu (MJ)

01-11-2024 17:27:26


Cela ne dure qu'un court instant, mais suffisament pour que Mélodie ait bien l'impression que la créature immense la regarde en retour. Pourtant, son visage est plongé dans l'ombre avec le soleil rougeoyant derrière cette chose. Impossible d'en distinguer les traits, ce n'est qu'ombre cachant l'astre éblouissant. Et malgré cela, quelque chose laisse vraiment penser qu'à cet instant, il regarde Mélodie et personne d'autre.

Elle reprend ses esprits, esquive le coup de hache avec habileté et parvient à assomer l'homme qui tenait la hache. Du moins, c'est l'impression qu'elle a et c'est bien suffisant car maintenant, c'est elle qui a la hache.

Les deux villageois qui lui barrent la route s'approchent d'elle. L'un marche lentement, l'autre accelère le pas jusqu'à faire quelque pas de course en criant, les bras ouverts. L'occasion est trop belle pour ne pas lui donner un coup d'estoc avec la hache en plein visage, suffisant pour le sonner et le repousser sur le côté. Derrière Mélodie, les vociférations se font de plus en plus forte et un regard derrière son épaule lui permettent de voir la foule s'amassant dans l'escalier derrière elle, portant autant de fourche et d'outil que de torche maintenant.

La seconde porte semble encore tenir le choc, mais on y tambourine. Les vitres commence à se briser alors que des mains y tapent de plus en plus régulièrement. La lourde porte semble la seule issue et le dernier obstacle qui l'en sépare s'approche en levant ce qui semble être un couteau, hurlant dans une cri semblant sortir d'outre tombe.


Mélodie Mild

01-11-2024 18:03:54


Le premier villageois lui fonce dessus comme un poulet sans tête! Et ce qui devait arriver arriva, jaugeant rapidement la distance entre elle et lui, elle prépare son coup de hache avant de donner un grand coup dans sa direction. La lame tranche le bras levé gauche de l'homme puis fini sa route en sectionnant la moitié de son cou, une giclée de sang salie le beau costume qu'elle portait dans la foulée.

Heureusement qu'ils ne l'avaient pas attaquer en même temps, car elle n'aurai pas trop su comment réagir... Celà dit, tout les bruits qui l'entouraient et le vacarme derrière elle la mettait en alerte ! Il fallait qu'elle se casse d'ici tout de suite.

Le deuxième se décide à lui foncer dessus également avec un couteau ! Mais elle savait pertinemment qu'elle n'aurai pas le temps de réellement s'occuper de lui. Donc plutôt que de tenter un coup létal, elle va au plus vite et jette son arme sur l'homme en espérant lui faire assez mal, ou trébucher, pour gagner quelques secondes.

N'étant plus encombrée de cette hache, elle longe le mur au niveau de l'homme au couteau pour être le plus loin de lui possible, puis court vers la porte blindée. Sa respiration erratique démontre bien son angoisse, surtout lorsqu'elle se rend compte que le passage est très étroit et que les vitres se brisait une à une.

Enfin elle parvient à se glisser de l'autre côté, non sans recevoir un ou deux coups de couteau dans le bras, qui ne manqua pas de la faire crier sur le moment. Même de l'autre côté, les sauvages continuait d'essayer de la poignardée en passant leurs membres par la petite ouverture de la porte. Elle fait donc son possible pour refermé définitivement celle ci en poussant, avant que tout les autres se ramène


Maître du Jeu (MJ)

01-11-2024 18:24:29


Le lancer de hache a son effet, déstabilisant le villageois suffisamment pour lui laisser le temps de passer. Mélodie se retrouve ainsi devant la porte qui s'ouvre de manière plus simple qu'estimée. Elle qui s'attendait surement à devoir pousser de toutes ses forces, elle la manipule avec aise, comme s'il s'agissait d'un bloc de polystyrène.

Il ne lui faut pas pousser très longtemps pour parvenir à repousser la horde de villageois qui tente de la suivre. Quelques membres et couteaux tentent leurs chances, mais après moins d'une minute, Mélodie sent la porte atteindre ses huisseries et, sans qu'elle n'ait à faire la moindre manipulation, elle sent cette porte se verrouiller seule. De toute manière, il vaut mieux car cette porte n'a ni poignée, ni mécanisme d'ouverture ou de fermeture.

Prenant un moment pour regarder où elle se trouve, elle réalise qu'elle est dans une chambre froide. Une de celle qu'elle a pu voir à Langdorf, un endroit glacial où pendent des carcasse de bête et de lourds morceaux de viande. Au moins, l'endroit est vide, bien qu'il y fasse froid.

Cependant, le répit est de courte durée. Si l'intérieur de la salle est sauf pour Mélodie, elle peut voir par une fenêtre ce qu'il se passe à l'extérieur. L'ouverture n'est pas bien grande, mais elle peut voir l'estrade où elle a tenter son discours, détruite par la population. Le bois a été réunis en un tas autour duquel la foule se masse.

Bien qu'elle ne soit pas en mesure de voir la scène directement, Mélodie peut voir Anaïs au prise de la foule. Elle crie, hurle, se débat alors que la foule la dirige.

Anaïs - Mais qu'est-ce que vous foutez ? Lâchez moi ! Lâchez moi bande de tarés, j'ai rien fait !

Il y a une réponse, mais inaudible, couvert par les vociférations de la foule. Anaïs est allongée sur une croix et le pire arrive alors. De lourds clous sont plantés dans ses poignets, dans ses mollets. Elle hurle, crie, supplie qu'on arrête, appelle Mélodie à l'aide... Mais la fenêtre est bien trop épaisse, l'endroit protège autant Mélodie de l'extérieur qu'il ne l'empêche de sortir.


Mélodie Mild

01-11-2024 19:12:04


Le pire à finalement été évité, du moins c'est ce qu'elle pensait sur le moment. Une fois sur d'être en sécurité dans cette endroit, elle défait définitivement sa cravate pour l'enrouler autour d'une des blessures au coup de couteau qu'elle à reçu plus tôt. Elle choisit celle qui saignait le plus puis fini par reprendre un peu sa respiration.

À peine elle eut le temps de se poser un petit peu qu'elle entend une voix très familière à l'extérieur, celle là même qui avait pleurer durant son discours. Elle s'avance alors vers une fenêtre pour comprendre ce qu'il se passait, et finalement, le pire étai bien à venir.

Puisque Mélodie étai intouchable, la colère de la foule s'est rabattue sur sa femme. Cette simple vision la choc au plus au point et un sentiment d'impuissance l'envahit. À chaque clous planté, elle frappe un peu plus fort là fenêtre dans le but de la brisé.

Tout ce qu'elle désirait maintenant, c'était de sortie de cette endroit, quitte à être déchiqueté par la bande de fou. Mais il n'y avait rien à faire, ses poing saigne tant elle frappe sur cette vitre en criant le prénom de sa dulcinée! Ce n'était pas possible, pensa t'elle. C'est Anaïs qui venait toujours la sauver, et quand c'est elle qui avait besoin de son aide, Mélodie ne pouvait rien faire?

Laissant deux traces de sang sur le mur, Mélodie s'assied dos à la fenêtre et se bouche les oreilles avec ses deux mains. Malgré ça, elle avait l'impression d'entendre parfaitement tout ce qu'il se passait, donc elle se mit à crier de d'espoir pour tenter de couvrir les sons insupportable qu'elle entendait à l'extérieur avec sa propre voix


Maître du Jeu (MJ)

01-11-2024 21:33:55


Malgré la tentative de Mélodie pour couvrir le son et l'image, son esprit comprend très bien ce qu'il se passe dehors. La croix où Anaïs est clouée est levée à la verticale au dessus du tas de bois. Une fois fixée, la foule alentour y jette ses torches et le feu se propage de manière anormalement rapide. Anaïs hurle, pleur, appelle à l'aide. La foule continue de vociférer à son encontre.

Ce son atroce ne cesse que lorsque Mélodie vient tenter d'essuyer du sang ou des larmes de son visage. C'est là qu'elle réalise que sa main a cristalisé. Elle n'a même plus le teint pâle de l'humain, mais s'avère être bleutée, presque transparente. Les scintillements émerveillent durant une seconde, le temps de réalise que l'autre main subit le même sort, de même que tout son corps. Le froid plus mordant que jamais commence à s'emparer du corps de Mélodie et remonte le long de ses bras, ôtant peu à peu les sensations de ses membres en train de geler


Mélodie Mild

01-11-2024 21:54:52


Tendis qu'elle s'abandonnait au désespoir en pleurant, ses membres gelée la ramène peu à peu à la réalité. Un mélange de panique et de détermination étrange l'envahi quand elle se redresse en cherchant du regard quelque chose qui lui permettrait de sortir de cette enfer! Il fallait qu'elle trouve quelque chose, qu'elle sorte sauver Anaïs, qu'importe si c'était déjà trop tard, le déni était tout simplement plus puissant.

Serrant ses deux mains contre son torse pour les réchauffer du mieux qu'elle pouvait, elle s'avance dans la pièce en titubant légèrement, à cause de sa vue dérangée par les larmes, et la douleur mental et physique qui la transperçait de toute part.

La porte, ce n'était même pas la peine d'y penser, il n'y avait pas moyen de l'ouvrir, et les fenêtre.. ne pensons pas à regardé par les fenêtre pour le moment, disons qu'elles sont infranchissable. Il ne restait plus qu'a trouvé une sortie annexe, un compartiment, une ventilation, n'importe quoi! Tout ce qu'il se passait l'empêchait de réfléchir clairement, si bien que les question "pourquoi" et "comment" elle est arrivé là avait totalement disparu


Maître du Jeu (MJ)

01-11-2024 22:16:19


Mélodie reste libre de ses mouvements, mais le froid la pénètre de plus en plus. Elle semble bien s'être piégée, surtout qu'à mesure qu'elle se mouvoie, elle réalise qu'elle a de plus en plus de mal à décoller les pieds du sol, à les bouger même.

Quand elle réalise que le froid a atteint ses membres inférieures, il est déjà trop tard. Pire encore : ses avant-bras se sont collés contre son torse qui, lui aussi, commence à geler. Elle tente encore d'avancer d'un pas, mais se décoller du sol s'avère presque impossible. Refusant de rester sur place - sans doute consciente que rester immobile serait synonyme de mort - elle y met plus de force, de conviction.

Elle finit enfin par lever sa jambe sans un bruit de glace qui cède, dans un craquement glacial. La victoire est courte, car Mélodie réalise qu'elle vient de briser sa jambe au niveau de sa cheville, laissant son pied collé au sol. Quand elle appuie par reflexe le moignon contre le sol, c'est là qu'elle glisse. La panique est totale pendant un instant et, au moment où elle touche le sol, où elle sent ses mains se briser sous le choc, voler en éclat...


C'est le choc de son pied sur le sol qui ramène Mélodie. Penchée en avant, se sentant tomber, elle se retrouve dans sa petite tenue rouge qu'elle avait près de la place de la fontaine. Ses jambes sont encore là, ses deux pieds aussi, ils sont bien attachés. Même ses mains elles... Mélodie remarque que ses mains sont couvertes de sang. Les entailles au couteau sont bel et bien présente.

En regardant autour d'elle, Mélodie réalisera qu'elle est dans un restaurant, dans une salle à l'étage. Les quelques personnes derrière elle la regarde avec méfiance, étonnement. Il s'agit des gens qui travaillent ici, l'un d'eux à une arme dans les mains et tremble, la pointant mollement vers le maire. Derrière elles, une personne est à terre. Un homme habillé comme un serveur, un employé sans doute un parapluie planté dans le torse. Il n'est pas mort, mais a bien du mal à respirer.


Mélodie Mild

01-11-2024 22:39:19


"Encore un dernier effort" se disait elle, forçant comme une malade pour fuir cet horrible endroit. Elle ne sentait même plus son bras, son corps, tout ce qu'elle voulait c'était fuir le plus loin possible. Jusqu'à faire le "pas" de trop, son pied qu'elle ne sentait déjà plus est sectionner dans un craquement indescriptible, cela lui fait à peine mal, car littéralement tout son corps lui faisait aussi mal à cause du froid.

Avant qu'elle ne puisse réalisé quoi que ce soit, elle tombe en avant et glisse sur le côté jusqu'à ce que ce soit elle qui finisse entièrement brisé en mille morceau.


Un instant plus tard, elle rouvre les yeux, les bras encore serrée très fort contre son torse, la sensation phycologique de froid persistait encore un peu mais disparaissait au fur et a mesure qu'elle réalisait qu'elle était dans un petit restaurant pas loin de la place.

Son épaule était collé contre la vitrine du restaurant, visiblement celle ci l'avait empêché de tombé. Il y avait quelque trace de sang sur la vitre, comme si on avait frappé dessus. Très confuse, elle regardait autour d'elle, un homme blessé, un serveur avec un couteau.. Elle ne comprenait rien, cela lui rappelait la fois ou elle avait débarqué dans le bar des Hell's Hound et provoqué une baston général dont elle se souvient à peine

  • Que... qu'est ce qu'il se passe..

Dit-elle dans sa grande confusion. Sans réfléchir, elle accélère vers la porte du restaurant et sort rapidement, ne voulant ni se confronter à ce serveur visiblement sous le choc, et la responsabilité de ses actes envers cette homme qu'elle avait visiblement attaqué vu l'état de ses mains

Elle ne va pas bien loin honnêtement, elle tourne juste quelque mettre plus tard sur la ruelle à côté pour se "cacher" et faire le point quelque seconde, encore un peu traumatisé par ce qu'il venait de se passer


Maître du Jeu (MJ)

01-11-2024 23:32:26


Le personnel du restaurant s'écarte avec un petit cri de terreur. Celui portant une arme s'écarte en la laissant tomber, imitant ses collègues.

Dehors, c'est assez perturbant. Il y a des gens qui, comme Mélodie, semblent se demander où ils sont ou ce qu'ils font là ou pour quelle raison ils se sont déshabillés. Etrangement, il y a assez peu de gens pour les aider, se moquer ou même observer. La plupart des gens qui semblent hors de cette hallucination se trouvent trop loin pour réaliser ce qu'il se passe. Bien évidemment, personne ne prête attention au passage du maire - pour le peu qui réalise sa présence.

Mélodie retrouve ce qui lui semble être la réalité. Mois d'octobre, nuit, éclairage de la ville, fraicheur qui s'installe sans être prononcée. Tenue, physique, sensation, tout y est. Pourtant, ce qu'elle vient de vivre semble tout aussi réel. Les bruits de pas sur le bois de l'estrade, la porte collée à son dos, la chaleur dans le bâtiment, les sensations de coupure - qui sont toutes présentes, autant aux bras qu'à l'arcade sourcilière. Même le traumatisme de voir sa femme crucifiée et brûlée vive ou du froid qui pénètre sa chair plus profondément qu'il ne l'a jamais fais. Tout semblait trop réel, et à la fois, cela ne fait aucun sens.


Mélodie Mild

01-11-2024 23:53:01


Dans sa petite ruelle, Mélodie observait les gens en déroute dans les rues. Ils avaient l'air tous complètement effrayé, paniqué, voir même dangereux. Tout comme elle quelque instant plus tôt...

Tout avait l'air si réel, pourtant tout portait à croire qu'il s'agissait d'une hallucinations, la hache étai en faite un parapluie, l'homme au couteau, le serveur... D'ailleurs, visiblement elle avait utilisé une serviette de table pour son bandage provisoire.

Mélodie est obligé de prendre quelques longue respiration pour endiguer sa crise de panique persistante. Ses yeux scrutait l'horizon au cas où un danger se rapprocherai d'elle. L'envie de rapidement rentré chez elle surgit d'un seul coup, mais avec tout ces individus sur sa route, ce serait probablement plus prudent de trouver un coin sûr..

Alors, elle tourne la poignée de la première porte qu'elle voit dans cette ruelle, de toute façon il y avait 2 chance sur trois de tomber sur un bâtiment abandonné.


Maître du Jeu (MJ)

02-11-2024 11:20:10


Pendant qu'elle retrouve son calme, Mélodie peut entendre des hurlements dans la rue. Pas très nombreux, assez espacés, parfois teintés de larmes, souvent transmettant la peur profonde ressenti par celui qui le pousse. Cela lui renvoie comme des flash de ce qu'elle a pu vivre. La créature, la chasse, le froid...

En ouvrant la porte la plus proche dans la ruelle, elle tombe sur une ancienne librairie abandonnée depuis un moment. Il n'y a pas âme qui vive à l'intérieur, l'endroit est parfaitement calme.


Mélodie Mild

02-11-2024 14:38:53


Son premier réflexe une fois en sécurité était d'appeller quelqu'un à l'aide. Malheureusement.. elle avait aucune idée d'où elle avait laissé son sac. Probablement sur la place, ou dans le restaurant. Il y avait peut être un téléphone ici cela dit?

L'endroit respirait l'odeur de très vieux livre, une odeur plutôt agréable. Mais vu l'état des lieux, il n'y avait certainement pas de téléphone qui trainait ici.. a moins qu'un cadavre ce cache quelque part, et que par miracle il n'ait pas été dépouillé.

Enfin bref, Mélodie s'avance plutôt vers une une fenêtre un peu salle et regarde au travers le chaos extérieur. Elle ressent un profond malaise, si bien qu'elle ne peut pas soutenir le regard à travers cette vitre, encore traumatisé par l'impuissance qu'elle avait ressenti lorsque Anaïs se trouvait derrière l'une d'entre elle..

  • Putain mais c'est quoi ce bordel dehors..

Maître du Jeu (MJ)

02-11-2024 17:07:47


A l'intérieur le calme est de mise vu qu'il n'y a que Mélodie, mais à l'extérieur, les choses semblent aussi retrouver leur calme. La plupart des gens dans la rue sont repliés sur eux-même, avec un regard qui en dis long sur la peur qu'ils ont pu ressentir ou qu'il ressente encore. Certains semblent aussi avoir commis des actes sans être maître d'eux-même.

Les secours s'organisent petit à petit. Des gens commencent à réaliser que quelque chose n'allait pas de viennent aider comme ils peuvent. Les réactions sont, là encore, variables. Entre ceux qui tentent de fuir, de peur de revivre Dieu seul sait quoi, d'autres restent léthargique et d'autres encore tentent de s'expliquer, comme l'un des hommes assez proche pour qu'on l'entendent.

- Elle grouillaient partout. Des fourmis, partout. Elles rentraient en moi, elles me dévoraient vivant ! Et cette créature affreuse...


Mélodie Mild

02-11-2024 19:03:43


Mélodie analysait tout ça depuis l'extérieur, certaines personnes avaient pu appeller les secours et c'était très bien comme ça. Pourvu que les secours soit armée évidemment, car certains pourraient être tenté de tirer sur l'ambulance, que ce soit de manière consciente, ou sous l'effet d'une psychose

  • La créature affreuse..

Pense t-elle à haute voix, elle ignore si il s'agissait d'une coïncidence ou si tout le monde avait pu entre apercevoir cette horreur. La maire se permet de prendre encore quelques instants pour se remettre de ses émotions, elle fouille l'endroit jusqu'à trouvé une sorte de salle d'eau, puis se passe un peu de flotte sur le visage

Enfin, elle retourne à l'extérieur avec prudence. Il y avait quelques choses à tiré au claire et pour le moment sa seul piste, c'était ce monstre.. elle part donc dans la direction ou celui ci se trouvait dans son hallucinations. Qui sait, peut être était-ce la source de ce chaos


Maître du Jeu (MJ)

02-11-2024 21:19:23


Malgré les quelques flash de réminescences qui s'espacent de plus en plus, aucune trace d'une créature gigantesque. Ni là où elle était, ni là où elle pourrait être.

Repérée par le personnel médicale sur place, Mélodie est invité à les suivre pour au moins panser ses blessures, et potentiellement expliquer leur origine.