Egouts (Akono, Calli, Kieta, PNJ)
Egouts - 13/04/2023
(PNJ joués par William Dyers)

Les Torturés
13-04-2023 16:55:32
Akono reprends conscience doucement, ouvrant les yeux comme se réveillant d'un sommeil profond. La vue est troublée, la tête douloureuse, la bouche pâteuse, tout le corps est courbaturé... Mais le pire est de réaliser qu'il a la tête à l'envers. Combien de temps s'est passé depuis l'enlèvement par les torturés ? Impossible a dire.
Bien que groggy, il retrouve peu à peu conscience et sent des fourmis dans tout ses membres, comme s'il se réveillait d'un très long sommeil. Evidemment, il réalise rapidement qu'il est dans une sorte de cocon faite de cette matière organique des torturés qui le prive de ses mouvements. Pendu à l'envers, il balance au milieu d''autres cocons suspendu au dessus d'un grand bassin d'eaux noirâtres et nauséabondes.
Il ressent soudain une douleur vive dans le mollet ou dans le pied et, en se contorsionnant ou se balançant un peu, il peu constater qu'un insecte - sorte de fourmi jaune géante qui fait bien un mètre d'envergure - a perforer le cocon au niveau de sa jambe encore immobilisée et a dévoré une partie du muscle et de la chaire

Calli Camrain
14-04-2023 12:38:41
Calli arriva sur place avec énormément d'equipement. Autant dire qu'on ne reconnait même pas le côté sexy de la démonne. Un sac assez massif au dos, kevlar haut & pantalon très rempli ainsi que des grosses bottes, elle n'avait plus aucun air de femme. Avec son odeur nauséabonde, elle attendit patiemment l'arrivée de Kieta, se demandant si elles avaient pris assez. En attendant, elle commença des étirements

Akono Lyriachi
14-04-2023 22:59:01
Le temps s’était arrêter dans ma tête..un vide qui m’avais causer presque un mal de tête si douloureux que je ne pouvais plus penser, j’avais mal..et j’étais dans une situation délicate. Le Mexique était plus pire..mais c’était la moindre des choses de revivre une expérience comme celle ci, une douleur à la cage thoracique qui me faisais tousser d’une manière ardue. Ça m’irritais..mes yeux s’ouvrait très lentement d’une douleur aux paupières après un long sommeil, mais une part d’ombre résidais en moi, une parole même plusieurs m’appelais à prendre mon courage en main mais cela ne m’étais impossible par le peu d’espoir qu’il me restais. Ma vision trouble ne m’aidais en rien, mon corps avait repris de l’énergie mais ce qui me manquais par dessus tout était bien évidemment un petit repérage de la ou j’étais. Sans voir je ne pouvais rien faire mais mon ouïe avait un "Bip.." constant comme ci on m’avais amocher l’oreille interne. L’espoir baissais de plus en plus et la lumière ne brillait plus sur ma personne, là seul façon de garder un brin d’espoir était de revoir Kieta au grand jour et d’être comme avant. Je n’arrivais même plus a parler mais je ne faisais aucun bruit. Je suis donc en territoire ennemi et pas n’importe lequel. Des souvenirs gris me frappait l’esprit pour me faire comprendre quelque chose..ceci fais donc suite à notre échec à la villa..j’aurais du mieux me défendre mais la prochai..il n’y aura sûrement pas de prochaine fois si ma mort viendrais à arriver. La faucheuse a la cape noir me guette de loin..mais des douleurs me feront crisper les muscles ce qui me donnera encore plus de douleur espérant que mon corps produise un peu d’adrénaline pour éviter d’avoir mal tout le long. Résultat de tout ce foutoir infernal. J’en avais qu’une hâte..de tous les buter jusqu’au dernier de ces fils de pute. Je ne savais pas si c’était le jour où la nuit, j’en savais aucunement ou j’étais. Ni me repérer, mais je me sentais tête en bas..le sang..
..me remontais jusqu’à la tête et ça pouvais devenir dangereux. Surtout que je sentais une douleur atroce qui me picotais, qui me tordais de douleur mais j’essayais en vain de ne pas crier mordant ma lèvre jusqu’au sang en faisant couler quelques gouttes. Je n’entendais pas Kieta. Je ne savais pas où elle était. Morte ? Vivante ? En toute espérance croyant qu’elle sois vivante. Mais cette enfermement ne m’aidais en rien. Des fourmillements me traversais le dos ainsi que tout mes membres, une sensation bizarre. Je retrouvais plus vite conscience et je réalisais que j’étais dans une merde noir. J’essayais de bouger mais j’y arrivais que très peu, presque pas du tout..mais ma vue voyais ce bassin d’eau a l’odeur nauséabonde..et d’une nuance terrifiante. Mais c’est pas plus pire que voir un bain de sang après tout. Mais j’étais déjà réveillé mais cette douleur au mollet me faisais mal..me contorsionnant essayant de me balancer pour me sortir de ceci, je sentais du sang couler..c’était une jambe immobiliser. Je sentais légèrement du vide. Une partie de muscle qui pouvait se refaire certainement et de la chaire mais ça m’empêchera pas de courir étant donner que c’est encore valide. Premièrement j’analysais..je voyais que très peu de chose mais je réfléchissais a deja comment me sortir de la. Avec de la chance..utiliser mon arme et quelque chargeur ainsi que mon couteau tactique m’aidera a sortir d’ici. En premier lieu j’essayais de voir quel était le point faible du cocon, quel partie la plus fragile alors je bougeais que très lentement essayant de faire bouger mon bras de toute mes forces, avec ma musculature je devrais tant bien que mal percer quelque chose.
- Putain de merde..c’est quoi ce..mm…merdier…!
Pensais-je, espérant que la lumière de dieu pourra briller à nouveau, mais une colère noir dans mon regard qui prenais peu à peu possession de mes sentiments, je sentais une chaleur. Une envie de meurtre..brûler tout ce qui y’a..
Pensant que je suis seul, et que Kieta a dû sûrement sortir pour rechercher du renfort..je croyais être laisser à l’abandon et une douleur tel un poignard traversais mon cœur..je suis donc seul. Et je devrais me débrouiller. Quelques larmes tomberont..mais je laissais peu à peu ma colère me posséder et tout de même garder un esprit fluide et stratégique.

Kieta Moriko
15-04-2023 10:08:06
J'avais donner rendez-vous à Callie et lorsque j'arrivais sur place elle était déjà presente sûrement depuis quelque minutes. Nous étions deux à revenir sur place. Évidemment j'avais à nouveau peur de perdre mon homme mais celui là n'étais pas aussi fragile psychologiquement que les deux autres. J'avais un équipement renforcer et dans mes poches quelques grenades. Deux lampes de poche sur moi et pareil sur mon homme qui nous suis. Mon baretta et un fusil d'assaut ainsi que deux couteaux. Ma caméra activée et une oreillette connecté à l'église. Nous étions mieux équiper que les deux dernière fois mais ma jambe était toujours blessée et griffer. Espérons que la douleur n'empiète pas sur mes mouvements. J'ai emporter également deux seringues, une de morphine et l'autre d'adrénaline. Nous étions près et l'enfer était sur le point de se terminer.
Je n'avais pas mis de parfum et l'odeur des égouts résidait sur mes vêtements. Je m'approche de toi te lançant un simple "On y va" en essayant de ne pas être dérangé par ton odeur. La porte pousser des égouts Nous entrons à nouveau par le passage que nous connaissions.. Avancer doucement et jusqu'à entendre quelque choses

Les Torturés
15-04-2023 14:44:17
Le cocon a beau être fait d'une matière organique visiblement molle, te mouvoir est très difficile, comme si tu étais enveloppé dans une matière élastique qui te ramenait à ta position initiale.
La fourmis revient grignoter ta chaire, te provocant une douleur insoutenable et, couplée à la fureur de se retrouver comme ça, tu parviens a extirper ton avant bras du cocon dans un déchirement semblable à celui de tissu qu'on arrache. Cela a demandé pas mal d'effort mais tu retrouve un peu mobilité. La fourmi semble l'avoir remarqué et pousse de petit cris strident en remuant les mandibules, observant ce membre fraichement sorti du cocon.
Pour ce qui est de la partie la plus faible, c'est bien évidement celle qui te retient au plafond...

Calli Camrain
15-04-2023 19:30:17
Dora était en train de checker la solidité de la corde qu'elle avait mis autour d'elle quand entra sur scène Kieta ainsi que son homme de main. Elle ne sait pas grand chose sur ce qu'il s'était passé lors des dernières missions mais elle ressentit l'odeur des habits de son supérieur qui était une odeur assez nauséabonde pour que la nouvelle comprenne que c'était l'odeur des égouts. La jeune demoiselle suivit alors Kieta dans les égouts, avançant sur la pointe des pieds, restant sur ses appuis & long couteau dans la main droite

Kieta Moriko
15-04-2023 22:13:07
Nous avançons vers la gauche suivant les paroies des égouts qui semblais se refermer un peu plus sur nous. J'écoutais chaque bruit et chaque claquement pour éviter une attaque surprise. Ma lampe torche diriger vers tout ce qui semble se mouvoir dans les égouts. Je ne savais pas ou j'allais et je ne sais pas non plus ou se trouve Akono.. rester comme sa dans la peur de perdre ou d'avoir déjà perdu le seul être chère que j'ai.. impossible je ne peux pas abandonner sans savoir.
Malgré toute les pensées sombre que j'ai je ne laisse rien paraître. Toujours aussi concentrée je tâte le terrain et j'avance faisant en sorte que mes acolyte soit derrière moi. Si quelqu'un devais mourir aujourd sa sera moi. Si quelqu'un devait tout perdre c'était la seule qui devais être tenue pour responsable..
-Rester sur vos garde. Pas de déplacement inutiles. Et surtout on se sépare pas. Dis-je en chuchotant

Calli Camrain
15-04-2023 22:27:23
Kieta était la leadeuse & tout ce que je pouvais faire était de couvrir nos arrières. Mon regard observait partout autour de nous, la nuque risquant de partir en torticolis si je continue ainsi pendant un moment. Si je zieutais beaucoup, c'était surtout mes oreilles qui travaillaient à chercher des bruits de pas désynchronisés de notre allure, des grognements entre le son des tuyaux & de la coulée d'eau, le moindre bruits même des gouttes. Les maux de têtes commencent mais Calli se calma avec le temps, commençant à fermer les yeux lorsque Kieta chuchota. Elle vint rouvrir les yeux & analyser le terrain, l'eau, les ondes, les mouvements des rats, le rythme de notre marche. Suite à cette première analyse, Maldita continua son avancée, toujours en silence

Kieta Moriko
16-04-2023 11:22:18
Les tuyaux paraissait calme et aucun torturé ne pointait le bout de leurs nez. Javancais le plus calmement possible mais c'était bien compliqué de rester concentrée. Ma jambe ne me faisait pour le moment aucune douleur et mon odeur piquait mes yeux. Mes pas lent étaient suivis des votre et se repérer dans les égouts n'allais pas être chose aisée mais nous avons au moins réussi à rejoindre l'endroit que j'avais réussi à aller avec les autres hommes.. autant de torturé de ce côté là sa devais signifier quelque chose.
-Par ici il y en avais une de 2 mètre de haut. Chuchotement

Calli Camrain
16-04-2023 23:14:08
Les égouts sont beaucoup trop calmes pour le moment, ça sent pas bon. Le risque que tous soient en pleine attaque de l'otage et donc qu'ils soient tous en paquet est plus importante. C'est dans ces moments qu'on sent notre mission devenir complexe. Si tous sont réunis, il sera très dur de passer. Ses yeux fouillent malgré tout en espérant que la cheffe va la rassurer... Ces mots lui ont mis autant de craintes que d'apaisement, nous savons où nous sommes mais nous n'avons pas vu de visite par rapport à son témoignage. D'un souffle tremblant d'excitation, elle suit le pas

Akono Lyriachi
16-04-2023 23:29:53
Ma tête tournais et les ténèbres me rattrapait mais j’essayais de tenir le coup face à toutes ces douleurs et je respirais lentement et expirais lentement pour essayer de calmer mon rythme cardiaque, mes yeux était écarquillé par la souffrance causer de la douleur mais par ma force regagner durant le sommeil j’y mettais une force dans mon bras et dans mon poing essayant tant bien que mal d’extirper un membre malgré cette matière dérageante. Un léger grognement d’entre mes deux lèvres ce qui particulièrement énervant, je me sentais aucunement confortable dans ce cocon qui était plutôt un handicap pour moi. Je me concentrais sur mes membres un à un pour ne pas épuiser toute la force que j’avais regagner, malgré qu’il faisais un peu sombre j’analysais quand même l’endroit où j’étais pour savoir ce que je peux faire et ne pas faire. Difficile de penser quand une douleur infernale vous percute l’esprit. Essayant tant bien que mal pour me sortir de cette merde.
Je sentais quelque chose venir grignoter ma chaire et je mordais ma lèvres auquel j’arrachais un léger de bout de peau mais une douleur qui me picotait et me dérangeait. J’en pouvais déjà plus..au point de me ramener dans le monde l’inconscience mais d’une pure volonté j’extirpais déjà mon avant bras ce qui étais déjà une bonne nouvelle mais ce n’étais pas ce que je voulais. Ayant un peu de mobilité j’avais peut-être la possibilité de tuer cette foutue chose si elle approchais une partie proche de mon bras. Entendant les petits cris je fermais ma bouche mais quelques soupires d’effort pour signifier que j’essayais d’extirper mon deuxième bras mais je faisais une pause. Mon souffle légèrement couper mon mal de tête était insoutenable.
Quelque seconde après avoir fais une petite pause, j’essayais de bouger mon autre bras et de faire petit à petit sans se presser, une chose a la fois. Je cherchais la partie faible et je savais bien que c’était celle attacher au plafond.
..quand j’aurais certainement l’accès à mon pistolet je devrais tirer sur ce point faible..ou certainement couper quelque chose a ma proximité. Cela prendra du temps mais cette odeur horrible me donnait envie de vomir mais j’essayais d’ignorer.

Les Torturés
17-04-2023 17:20:52
Tes yeux s'acclimatant avec l'obscurité de l'endroit, Tu pense être dans une pièce assez vaste et circulaire. Une vingtaine de mètre de diamètre avec un bassin en son centre au dessus duquel tu es accroché. Il semble y avoir plusieurs niveau, du mouvement mais ta vue est encombrée par d'autres congénères accrochés eux aussi au plafond.
En forçant à nouveau et de la même manière, tu parviens à libérer ton avant bras gauche au prix de nombreux efforts, comme si tu avait arraché une planche clouée à main nue. Voyant ce nouvel appendice sortir, la créature sur ton cocon pousse un second cri et, après un mouvement de recul, viens s'attaquer à ta main gauche.
Impossible de prendre une arme pour le moment. Si elles sont encore sur toi, elle seront à leur place au niveau du torse ou de la ceinture. Plus grave : malgré que tu retrouve de la mobilité, il va être difficile de se défendre en pouvant simplement plier le bras et la main. Tu te sens comme un pantin désarticulé et pourtant tu sens que si tu ne fait rien, tu risque d'y perdre quelques doigts... Dans le meilleur des cas

Kieta Moriko
20-04-2023 14:36:30
Nous avançons à tâtons parfois nous devions revenir sur nos pas et peut de choses semblais nous rappeler un endroit. Après plusieurs temps de marche je sort mon portable afin de regarder le contact "Akono".. mais bordel peut être que je peux retrouver sa puce ? Ou l'appeler? J'essaye de lancer un appel puis comme on pouvais s'en douter il marquer qu'il n'y a pas de réseaux alors tout en marchant J'essaye de capter mais rien.. même après quelques mètres. Plus le temps passe et plus l'énervement monte mais J'essaye tout de même de ne rien laisser sortir. Mes pas guide les votre et ma respiration est à peine perceptible malgré la douleur que ma jambe me fais ressentir.

Calli Camrain
20-04-2023 14:56:26
l'attention de Maldita baissa de plus en plus, des maux de tête importants à cause de son surmenage à long terme puisent son souffle, sa respiration & sa temperature corporelle se font de plus en plus important, au point que les 2 autres membres pouvaient ressentir une vague de chaleur de plus de 30 degrés leur chauffer le dos. Les tentatives de Kieta & son énervement n'arrangeait pas la situation dans laquelle la mafia mexicaine se trouvait. Les maux de têtes forcent Calli à fermer les yeux pendant quelques secondes plusieurs fois & à ressentir son entourage pour se reperer. Evidemment, elle fait des ouvertures rapides pour vérifier où vous êtes

Kieta Moriko
20-04-2023 15:23:27
Sentant que la température augemente mje me tourne et je vois que tu ne semble pas au mieux de ta forme. Je range mon téléphone avant de me diriger vers toi posant directement ma mains sur ton front. Tu es brûlantes et je te regarde en croisant les bras
-Tu es malade ? On va t'escorter jusqu'à une sortie et tu rentrera. Je ne veux pas perdre un homme encore.
Surtout que tu serais surtout un poid si nous ne pouvons pas avancer correctement. De plus si nous devions veillez à ta propre securite nous pourrions perdre gros.

Calli Camrain
20-04-2023 15:36:16
Calli ne souhaitait pas partir mais elle allait être un poids pour Kieta lors de leur excursion. Calli vint sortir de sa dernière poche des pillules très spéciales. Ta main quittant son front peut ressentir une augmentation de la chaleur de son front, près des 40°C, des larmes à l'oeil ainsi que des tremblements. Ceux-ci dureront pendant les trois prochaines heures de l'excursion mais les maux de tête ont disparu & la température chuta & les yeux coulèrent encore quelques larmes
Continuons... On n'a pas le temps de faire demi-tour... Je vous ai dit que je m'occuperai de vos arrières. Les maux de têtes vont passer donc ça va mieux.

Kieta Moriko
20-04-2023 16:48:28
Je n'allais pas faire demi tour mais nous aurions chercher une autre sortie. Je ne savais pas ce que tu avais pris mais je te laissais faire. Tu voulais te prendre en mains et tu semblais tour faire pour que ce soit le cas.
-En espérant que tu suive. Si tu ne vas pas mieux à la prochaine trape de sortie tu rentre et c'est un ordre.
Évidemment sa pouvais passer pour acte froid mais que du contraire.. je devais prendre soin de chaque membre de la famille et tu ne fais pas exception

Calli Camrain
20-04-2023 17:06:40
Calli passa sa main devant ses larmes, enmenant avec elles la chaleur qui restait. La pillule est basée sur la cryogénisation de doliprane concentré. La demone ne voulait pas être inquiété Kieta, ni l'homme qui était entre elles. Prenant une grande inspiration, elle rouvrit les yeux, la lueur de son iris ambrée revint tandis que celle-ci fouille du regard les alentours, bien plus lentement qu'avant pour éviter les maux de tête.

Akono Lyriachi
22-04-2023 17:00:18
Je commençais à m’habituer lentement à cette endroit et a m’acclimater, mes yeux retrouvait une vue plutôt normal mais ma vision s’habituait un peu dans l’obscurité alors je voyais plus de chose que quand je venais de me réveiller, c’est une bonne nouvelle pour moi mais mon calvaire est loin d’en être terminer. Malheureusement j’avais toujours un mal de tête assez agaçant qui m’empêchais de penser mais j’essayais d’ignorer la douleur du petit con qui m’a bouffer un bout de chair de muscle, ce qui n’étais pas une tâche facile c’était de bouger et de s’en sortir. Je voyais la fourmi, satané insecte. Ma colère grandissait et produisais un peu d’adrénaline, et cela allait m’aider grandement pour la suite. Je pouvais que voir le strict minimum autour de moi encore ce qui me limitait bien plus que je ne le pensais, cette événement m’exténue au plus au point, avec mes bras j’essayais encore de crée quelque fissure mais je reprenais quelque force par des pause par intervalle. C’est le mieux que je pouvais faire pour éviter de trop m’épuiser. Mon regard fixais cette fourmi..mon envie de l’écraser allait peut-être me donner encore plus de motivation..mes pensées sont soudainement plonger..je pensais aussi à Kieta. Je ne savais pas où elle est..mais toute façon..je devais m’en sortir tout seul quoi qu’il en coûte. Peu importe les blessures, sortir est mon objectif primaire. Je grinçais des dents à l’idée de pouvoir en tuer quelque un..un léger sourire qui était plutôt flippant se dessinais. Je m’abstenais de crier mais je devenais légèrement fou à force d’être ici.**
**Cette odeur me donnais envie de vomir mais je retenais enfin..j’évitais pour pas attirer d’autres personnes, alors que je forçais un peu plus voilà que mon avant bras gauche était sorti. C’était déjà un bon point, mais ce petit cri de l’insecte me donne un mauvais présage..quelque seconde plus tard je voyais l’insecte attaquer ma main gauche. Encore plus d’ennui, c’est comme si je portais..
..un poids encore plus lourd sur mes épaules tel un fardeau. Je peux pas prendre l’équipement que j’ai alors mes mains me suffiront..après un long souffle en agitant ma main je vais soudainement la serrer et venir lentement avec mon autre main..avec toute la force que j’ai par le sommeil que j’ai fais. Essayer de venir écraser l’animal..ou dans l’autre cas..j’allais la balancer plus loin..sois essayer de frapper le cocon ou je suis. Mais j’avais de grosse chance de pouvoir d’éliminer cette bête. Je reprenais mes esprit et ma forme corporelle alors le cocon allait plus devenir un handicap, petit à petit..suffisait juste que je réfléchisse un peu.

Les Torturés
23-04-2023 15:49:36
Tu tente de donner un coup sur l'insecte ou même de l'attraper mais il est vif le bougre. Bien qu'à la verticale, il s'esquive à chaque fois comme s'il faisait de petits bonds en poussant de petits cris. Cela suffit à le faire reculer mais il est agressif et te donne de petites morsures.
A force de t'agiter avec l'autre main, tu sens ton bras se libérer à mesure que le cocon se déchire, te permettant d'attraper la fourmi par une patte pour la jeter où tu peux. Malheureusement, si tu te sens tirer d'affaire, tu entends ensuite un craquement sourd et un début de chute. A force d'agitation, le cocon s'est craqué sur toute sa longueur et tu te sens glisser comme un bâtonnet de glace sortant de son emballage

Akono Lyriachi
25-04-2023 22:12:23
J’étais à bout de force a cause de mes mouvements aussi intensifs que les autres pour me démêler de cette situation horrible et périlleuse qui me dégoûtais au plus au point. Mes yeux avait retrouver leur complète vision me permettant maintenant de voir à une distance très limité mais de pouvoir quand même voir ce qui est proche de moi, mais je continuais d’attaquer cette insecte sans relâche..essayant de tuer cette insecte avant que je m’épuise sinon je serai totalement perdant. Je sentais quelques morsures mais je serrais les dents alors que je fermais la main pour former un poing. Les petits cris était dangereux..je pensais que ça pouvais attirer d’autre ennemi. Je devais faire taire ce petit con avant que cette situation dégénère encore plus.
Une minute ou même deux ou je ne sais combien ayant perdu la notion du temps, j’avais mal à la tête à force de dépenser tout mon énergie..avec un dernier effort je réussissais à me dégager le bras attrapant cette insecte, la jetant plus loin me pensant être tirer d’affaire..mais quelques craquements du cocon ou j’étais emprisonné, étant en hauteur fallait que je me mette vite fais dans une position "sécurisé" pour éviter de m’énuquer et tout simplement de mourir. Je met donc une main sur la surface arrière de mon crâne et une partie sur ma nuque pour me la tenir. L’autre main tenais mon autre côte. Prêt à chuter..j’allais me faire certes mal..mais c’était le prix pour s’en sortir.

Les Torturés
27-04-2023 22:34:03
Tu as tout juste le temps de te protéger que le cocon cède. La chute ne dure que quelques secondes mais même si tu t'y es préparé, tu as eut l'impression de rater quelques battements de coeur.
Puis c'est le grand plouf, le contact violent de l'eau dans laquelle tu t'enfonce immédiatement. C'est dégoutant, on dirait que tu te retrouve dans de l'eau saturé d'algues ou de vase. La bonne nouvelle, c'est qu'elle est assez profonde pour te receptionner sans dommage et que tu as pied. La mauvaise, c'est qu'elle pue la charogne et que de te mouvoir dedans est loin d'être agréable.
Il y a une echelle qui semble mener à un étage plus haut, quelques tunnels aux alentours. Tout est trop sombre pour distinguer quelque chose. Tu entends bien des cris que tu attribue aux torturés mais il y en a d'autres. Et puis il y a aussi d'autres personnes en cocon au dessus de toi et un frisson te parcours à l'idée que Kieta puisse y être.

Akono Lyriachi
29-04-2023 19:16:39
Je glissais et tombais alors mais je serrais des dents alors que mon cœur ralentissais manquant quelques battements par une sorte de peur, la mort ne dois pas me rattraper maintenant..alors qu’un bruit d’eau se faisais entendre de partout l’atterrissage dans cette eau qui était sale. Je ne voyais rien ayant fermer les yeux mais je me relevais aussi vite que je pouvais ayant pied..une petite douleur dorsale par le choc contre l’eau. Même si cela est fais..l’odeur nauséabonde me fais soudainement vomir directement, je toussais encore un peu avant d’avoir la gorge qui me brûlais, c’était le prix à payer pour s’en sortir de ce foutu cocon. Mais chaque mouvement que je faisais je sentais toute cette eau saturé d’algue ou de quelque chose d’autre ce qui était pas du tout agréable pour ma peau et encore moins pour bouger mais je bougeais avec peine. Maintenant fallait que je sorte d’ici mais pas inquiétude je cherchais où était kieta. Essayant d’apercevoir tout les cocon à proximité de moi.
- Ou-est-ce qu’elle est..
La gorgée nouée avec de grands frissons qui me parcourais le dos faisais légèrement trembler ma main droite, j’avais une certaine peur et une tristesse de peut-être l’avoir perdu. Je n’avais pas de lampe torche, donc je pouvais pas voir tout ce qu’il y’avais autour de moi.
- Putain..
Quelques bruits arrivait à mes oreilles, je distinguais certains bruit avec succès alors l’odorat et l’ouïe sera comme un petit repérage. Pouvant m’aider pour mieux m’en sortir, je marchais un peu sans courir faisant que très peu de bruit..essayant de chercher ce qui pouvais être Kieta. Mais j’essaie de me rassurer qu’elle est déjà sortie.

Les Torturés
29-04-2023 21:48:36
En vomissant, tu ne peux que constaté que tu as vomis une sorte de glaire baignée dans du liquide blanchatre. Tous les cocons que tu as à portée ne semblent pas contenir Kieta. De toute manière, avec l'obscurité, difficile de bien distingué qui est dedans.
Tu sors donc de l'eau avec difficulté. La jambe amputé d'un mollet est douloureuse et c'est un miracle si tu arrive à la bouger. Tu t'en sors surtout en la tendant et en usant de ta hanche pour la mouvoir, un peu comme une poupée aux mouvements rigide. La douleur est intense mais compte tenu de la situation, tu l'oublie assez vite.
Tu boite ainsi jusqu'à une des sorties et commence à l'emprunter. Tu te retrouve dans un tunnel circulaire de quelques mètres de diamètres. Il fait noir, tu distingue à peine à quelques mètres. Régulièrement, tu butes dans des os. Des membres humain en décomposition majoritairement. Soudain, après plusieurs minute à clopiner, tu commence à entendre des cris derrières toi, des torturés sans le moindre doute...

Akono Lyriachi
02-05-2023 18:52:44
Ma gorge sèche me faisais mal étant déshydratée et ayant rien manger non plus cela allait aucunement de mon côté de ce qui est à propos de l’avantage. Les ennemis et tout ce qui se trouvait sûrement autour pouvait sûrement aggraver la situation alors je prenais subitement le pistolet dans mon holster..venant donc le secouer un peu avant de légèrement qu’il était en état de tirer. Alors je venais à voir le chargeur qui était plein le remettant donc dans mon holster avant de marcher un peu pour observer les cocons, à vue d’œil avec une vue limitée rien ne me paraissais être Kieta, mais tout de même je stressais. Alors que je revenais à vomir une seconde fois je remarquais un liquide blanc, j’écarquillais les yeux pensant que cela pouvait être fatale mais je pensais que ce n’était pas grand chose. Avec difficulté je boitais à la recherche d’un moyen pour partir ou pour monter, tout pouvait m’être utile..
La douleur persistait dans mon mollet mais je pouvais oublier par cette situation périlleuse et mortel, je commençais à me dire que l’espoir n’était plus. J’essayais de réfléchir mais rien ne me venais en tête, je mettais donc une main sur ma jambe en pensant que je pouvais légèrement la soutenir pour faciliter un tout petit peu le déplacement malgré la blessure qui saignais encore un peu, cela n’était pas bien grave mais je n’avais aucune compresse pouvant pas stopper une hémorragie si cela continuer mise à part me faire un garrot pourrait être utile. Mais à ne pas le laisser trop longtemps, tenu compte de mes mouvements difficile je marchais à un rythme lent pour ne pas brusquer la chose. Je regardais autour tout en levant par moment la tête.
Après une "longue" marche une des sorties m’était enfin aperçu à mes yeux venant donc à prendre ce chemin. Je savais très bien que c’était un tunnel selon la forme et encore cette espace un peu plus clos, je ne voyais rien mais je trébuchais presque pas mais je me frappais sans faire gaffe.
…dans des os humains ou des membres ce qui faisais accélérer mon rythme cardiaque par le stresse. Avant d’entendre des cris..soudainement je pris mon arme tout en serrant mon autre poing. A ma disposition se trouvais une arme à feu et un couteau, c’est déjà mieux que rien. Mais ne voyant rien je restais sous alerte maximal.

Les Torturés
03-05-2023 21:30:49
Ton arme est bien présente et chargée. Est-ce qu'elle fonctionne après avoir été recouverte par l'étrange cocon qui t'entourait ? Difficile de le savoir.
Ta jambe te fais un mal de chien : tu sens bien que la plier t'es impossible - sans doute dû au muscle dévoré - mais peut être qu'un garot pourrait la sauver... Ou la condamner en cas de gangrène. A toi de décider.
Les cris des torturés retentissent et tu entends des clapotement qui resonnent dans le tunnel. Impossible de déterminer leur origine exacte, pas dans ton état pourtant alerte. Tu braque l'arme devant toi. Le bruit se fait de plus en plus fort, pas de doute, ils approchent et dans ton état, tu ne te sens pas d'en affronter tout une horde. Tu remarque une petit alcove proche qui semble pouvoir te cacher... Enfin tu imagine que ça peut compte tenu de l'obscurité de l'endroit. Tu peux aussi tenter de fuir et espérer trouver une échappatoire, même avec ton rythme de marche limité.

Akono Lyriachi
07-05-2023 18:32:31
J’étais dans un état d’adrénaline et aussi de stresse face à cette situation l’une de plus périlleuse, alors que je vérifiais le chargeur sans difficulté de mon arme avant la recharger je braquais devant moi. Quelques chargeurs mais pas assez pour affronter ce tas d’enfoirés. Je marchais à une vitesse plutôt convenable avec un peu de rapidité sans forcer sur ma jambe, ne savant pas combien ils sont je me repérais au bruit de pas, ils étaient nombreux. Je ne pouvais pas les affronter tous d’un coup alors il fallait que je puisse en éliminer petit à petit avec le couteau ou l’arme.
Plus j’avançais, plus je sentais que je perdais encore un peu de sang alors c’est décider de faire un garrot, mais une douleur intense me prenait venant à légèrement grogner tout en serrant à noves mes dents. Prenant ma ceinture directement je venais à faire un garrot suffisant pour limiter la perte de sang mais pas trop serrer pour l’a laisser périr. Je pouvais pas marcher convenablement mais je pouvais me déplacer normalement en me tenant sois en avançant avec mon autre jambe opérationnelle mais sans attendre qu’ils s’approchaient de plus en plus je me mettais dans une petite alcove. Un endroit dépourvu de luminosité et assez facile de se cacher y mettant alors tout mon corps tout en laissant mon arme dans la main droite, ralentissant ma respiration pour limiter tout les bruits possibles de me faire répéter j’attendais qu’ils passent.

Les Torturés
07-05-2023 23:08:03
Tu prend le temps de te faire un garrot. Bonne nouvelle, la douleur est moindre mais mauvaise nouvelle, elle est simplement déplacée au niveau du garrot. Les piaillements se font de plus en plus proche, le stress grimpe en imaginant qu'ils puissent arriver sur toi avant que tu ai fini.
Tu te cache ensuite dans l'alcôve et après quelques secondes seulement, tu entends la vague de créatures passer. Ils ne te vois pas et tu aurais du mal à être sûr mais tu estime qu'une bonne centaine viennent de passer. Sur ce coup, tu te félicite de ne pas avoir essayé de les affronter.
Tu commences à ressortir de ta planque et tu vois alors au bout du tunnel des flashs de lumière rougeâtre. Tu entends aussi, au dessus des piaillement des créatures, des bruits de projection de liquide. Tu pense tout de suite à un lance-flamme mais difficile de savoir qui le tiens et si ce sera quelqu'un qui vient t'aider ou qui te fera flamber...

Akono Lyriachi
13-05-2023 19:14:57
La chose se compliquait, se corsant de plus en plus sans me laisser la moindre chance de vraiment savoir si je vais m’en sortir ou pas. La chose qui me fera tenir c’est de penser à Kieta…la femme que j’aime et que je ne quitterai jamais. Mais tout de même si j’essayais de penser à autre chose rien y ferait étant donner de la douleur que j’ai au niveau de ma jambe, je vais devoir faire opérer ça et quitter Langdorf un petit moment. Avant de revenir à neuf même si cela prendra du temps pour m’y habituer mais vaut mieux pas faire des plans sur la comète pour ne pas prendre trop la confiance ou trop se rassurer sous peine de baisser sa garde.
Après m’être cacher ce tas d’enfoiré passais alors sans me repérer ce qui était alors un soulagement que je me félicitais moi même, quelque chose bouillonnait en moi comme l’envie de tirer dans le tas jusqu’à que je sois à sec mais c’est pas le but sinon la mort viendra me faucher comme elle aurait du le faire depuis longtemps. Mon cœur en battait de plus en plus vite ayant un rythme cardiaque qui était insoutenable je vais quand même guetter si il y’a encore des torturés mais d’après l’ouïe et le peu de vision que j’ai, aucun être vivant dans les horizons. Je m’apprêtais à sortir lentement boitant encore de cette foutue blessure.
- Faut..vraiment que je sorte de la.
Sortant complètement je tenais mon arme devant moi en visant tout de même, sans baisser ma garde pour m’assurer d’avoir au moins une défense. Bien sur j’avais mes limites ayant la fatigue qui me gagnait que très légèrement mais ma vision apercevait des flashs de lumière de couleur rouge..j’entendais touts sortes de bruit. Ça ressemblait à un lance flamme..souriant de savoir que quelqu’un fais le boulot d’en exterminer une bonne partie moi je marchais directement à une vitesse convenable jusqu’à eux baissant légèrement mon arme. Physiquement j’étais blesser mais toujours apte et aussi toujours humain.
- Enfin…
Rassurer de quand même savoir que des personnes sont là, je me pose tout de même la question qui-est-ce ? Allié ? Ou ennemi à qui je devrais tuer et piquer le lance-flamme…pas le choix fallait s’en assurer. Reprenant ma respiration qui était d’une légère intensité je grognais que légèrement de douleur à la blessure qui saignait que très peu, au moins le sang coulait pas énormément..mais le danger était les infections alors je m’arrêtais quelque seconde pour essayer de recouvrir cette blessure. Je faisais comme je pouvais, comme un survivant.

Les Torturés
13-05-2023 21:48:12
Tu entends des cris accompagnant les coups de lance-flamme, des centaines de torturés brulant pratiquement instantanément. Puis un long silence dans la pénombre où tu distingue simplement la petite flamme du bout de l'arme virevoleter au bout du tunnel.
Ta blessure te fais un mal de chien Akono, tu as du mal à savoir si elle est infecté mais vu dans quoi tu baigne, il y a de forte chance que ça le soit. De toute manière c'est le cadet de tes soucis actuellement, elle arrive a te porter péniblement et sans trop de douleur, ce qui est déjà un exploit vu la blessure.
Alors que tu t'arrête pour vérifier ta blessure - ou tout simplement car ta jambe ne te porte plus, tu vois la flammèche s'approcher. Tu reconnais alors un visage familier au milieu de cet enfer, un visage qui te tirerais presque les larmes. Oui, c'est bien Kieta. Elle a des blessures superficielles, sa tenue est déchirée la laissant à moitié nue et tu n'a même pas idée de ce qu'elle a pu vivre pour être là mais elle est bien là, debout et entière alors que toi, tu es à genoux, tentant vainement de soigner un mollet dont il manque un muscle entier et qui, s'il n'est pas perdu, est sur le point de l'être

Kieta Moriko
14-05-2023 10:15:16
Les vêtements à moitié en lambeaux ne cachais pas grand chose mais je n'étais pas pudique est ce n'est pas aujourd'hui que je vais commencer à l'être. Mes yeux cherchais quelqu'un, quelque chose ou un endroit qui me donnerais une idée de l'endroit où se trouvais Akono..
Putain de m#rde !?
Je commençais à désespérer depuis un moment mais sa s'intensifiais au fur et à mesure où mon énergie s'évaporais. Les torturés, les égouts, l'air qui était bien moins agréable que celle de la surface.. en voyant tout les corps des torturés au sol sans bouger je fini par me laisser aller et me mettre contre un mur vomissent tout ce que j'avais retenu depuis un moment.
A bout de force, le ventre vide, l'énergie à plat j'avancais avec difficultés lorsque je vis un visage familier..
-..A..kono.. ?
Je te distinguait mal et je n'étais pas encore très proche de toi, sûrement par peur que tu sois un fantôme..

Akono Lyriachi
14-05-2023 10:30:54
L’espoir me faisais alors vivre et j’avançais directement peu à peu tout en venant à vérifier les balles de mon arme à feu et les peu de chargeur qui me restais. Mais en avançant le bruit était de plus en plus fort..la chaleur se renforçais..il faisait vraiment chaud, mais la douleur me gagnais aussi mais c’était pas ça qui allait m’arrêter dans ma lancée. Le sang coulait que très peu ou presque plus..la coagulation a au moins fais son boulot mais ce qui restais dérangeant c’était un muscle en moins..j’avais encore tout les autres..mais ça faisais quand même un trou..je ne sais pas comme je réglerai ça mais j’essayerai par tout les moyens..faut déjà voir si je m’en sortirais vivant.
- Fais chier..
Grognant de douleur, je n’avais aucune seringue d’adrénaline sur moi pouvant me remettre complètement en forme temporairement, fallait que je fasse confiance à mon état physique actuel serrant les dents en venant tenir mon arme devant a une main et l’autre main soutenait mon autre jambe en avançant peu à peu de mes pas lourd avec peine. Mais je m’en foutais..ma foi…dès que je sortirais la première chose sera de me laver et de me désinfecter toutes les plaies pour éviter une amputation ou une perte d’un quelconque membre. Des larmes chaude coulait sur mes joues par peur de mourir dans un endroit pareil…pourquoi ces enfoirés étaient arriver à un moment crucial de notre relation. Mais au moins le garrot ne me servais plus grand chose m’arrêtant une ou deux minute pour le replacer à un endroit "meilleur" que là où il était pour au moins faire en sorte que me déplacer sois possible.
- Tiens bon aller..
Je devais me rassurer moi même aucune personne était là avec moi, j’étais seul. Mais une personne vivante au moins était là avec une arme encore puissante et capable d’en décimer une bonne partie pour survivre et moi je pouvais que aider en tirant correctement dans le tas. Étant encore arrêter je vérifiais ma jambe..sale état..
..mais encore utile. Je me relevais avec peine mais plus j’approchais plus je voyais un visage familier..kieta ? Comment…ça se fais ?! D’un coup un sentiment comme rassurer m’avais redonner un peu de courage et de force pour pas rester planter là sans l’aider, mais mes yeux apercevait qu’elle était blesser. Comment a fais t’elle pour survivre ? C’était comme un miracle..brandissant quand même mon arme en l’approchant je m’étais adapter à cette environnement alors je pouvais au moins m’en sortir un minimum. J’essuyais mes larmes peinant à marchée je vais être de plus en plus proche avant de prononcer ton nom.
- K-Kieta…?!
J’aurais presque voulu crier de joie mais c’était pas le moment. Ma voie tremblais par mon état physique, mes membre encore capable de me rendre apte à tirer et à marcher commençais à être à bout de force.

Kieta Moriko
14-05-2023 10:42:32
Une vague d'énergie me parcours lorsque j'entends cette voix.. voix que je reconnaissais bien plus que celle de n'importe qui. Je m'avance d'un pas rapide vers l'homme que je cherchais depuis des jours dans cet enfer. Mon bras passe instinctivement sous le tien en remarquant que tu étais blesser à la jambe.
Mon lance flamme mis en sécurité et dans mon dos. Nous avançons doucement mes mots incapable de sortir de ma bouche.. je suis si heureuse de te revoir.. te revoir en mauvaise état certes mais tu étais en vie. Je me refusais de pleurer et encore moins de montrer quelconque signe de faiblesse. Comme si notre séparation avait irrigué une nouvelle barrière entre moi et mes sentiments.
Tu étais partis emportant avec toi la clé qui avais servi à me libérer un peu. J'étais sérieuse et mes pas se synchonisant au tiens pour sortir de cet enfer et aller au QG.
-Tien bon..

Akono Lyriachi
15-05-2023 00:32:14
Plus nous nous rapprochions plus mon cœur battait la chamade mais aussi un sourire regagnait mon visage étant heureux de savoir que ce n’étais pas qu’une simple illusion mais réellement la personne que je recherchais mais ma blessure me faisais un mal de chien..je te laissais venir vers moi et me soutenir pour éviter que je tombe ma foi c’était difficile mais je faisais avec. Je tenais mon pistolet facilement venant le garder le long de mon corps pour éviter un tir inutile ou autre chose, nous nous déplacions donc..
- Merci Kieta…
Je regardais tout de même en arrière pour m’assurer que aucun torturés nous poursuives pouvant nuire à nos chances de sortir de ce trou à rat, je te regardais aussi avant de partager peu notre équilibre pour éviter que tu tombes aussi à cause mon poids surtout de mon mauvais état que tu vas devoir te coltiner durant un long moment. Fallait sortir et nous laver et nous désinfecter le plus vite possible avec que tout sois trop tard mais de ton côté je ressentais cette séparation entre toi et tes sentiments, tu étais revenue là même qu’avant mais en légèrement plus ouverte.
- Foutu trou à rat.
Nous nous entraidons chaque jour et nous nous libérer l’un l’autre d’un mal intérieur, je voulais te garder auprès de moi. Je faisais en sorte d’accélérer le pas tout en gardant au moins un rythme convenable.
- Dépêchons nous de sortir..

Les Torturés
15-05-2023 01:34:17
Clairement, vous n'avez qu'une vague idée d'où vous êtes. Kieta, tu as été pourchassé par bon nombre de torturés, tu es monté, descendu à plusieurs reprises, abandonnant ton camarade avec qui tu étais rentré qui s'est sacrifier héroïquement. Tu pense être au troisième sous-sol mais sans certitude.
La jambe d'Akono fait peur à voir et tu te demande bien comment il tiens debout sans le muscle du mollet. Le garrot qu'il s'est fait ne te rassure pas non plus sur l'avenir potentiel de sa jambe.
Mais plus inquiétant, vous entendez encore des torturés, bien que moins nombreux... Pour le moment. Vous vous trouvez dans une vaste salle dans la pénombre la plus totale, plusieurs possibilité. Kieta, tu pense pouvoir revenir sur tes pas mais pas dit que ce soit la route la plus optimal et les cadavres de torturés que tu as laissé ont pu en attirer d'autre. Vous pouvez aussi reprendre la route d'où viens Akono et espérer remonter là d'où il vient. Ou vous pouvez tenter une des autres routes dont vous ne savez absolument rien

Kieta Moriko
17-05-2023 15:35:28
Effectivement faire demi-tour ou continuer par la ou venais Akono.. lequel serais le mieux ? Je sort mon téléphone de ma poche et évidemment y a pas de réseau.
-Bord#l.
Tu me remercie et je ne sais pas quoi répondre.. j'ai perdu deux hommes pour te retrouver et ton état n'avait clairement rien à envié.. nous prenons donc le chemin d'où tu viens. Après tout tu n'avais sûrement pas du teloigner de la ou tu étais. Tu étais en mauvais état et tu ne semblais pas avoir trop avancé.
-Tu sais me guider de l'endroit donc tu viens ?
Je n'avais que cette solution. Mon poignard en main je n'avais clairement pas assez de mobilité pour utiliser mon pistolets dans ses conditions. Pas le choix de sortir d'ici en prenant le moins de risque.

Akono Lyriachi
18-05-2023 00:04:02
Mes yeux remarquait que avais quand même des blessures faisant en sorte de nous compliqué un peu la tâche ce qui me contrariait vraiment, alors que je continuais de marcher avec toi tout en venant à regarder devant moi. Des cernes sous mes yeux éprouvant la fatigue ainsi que le désespoir me donnant sérieusement envie de mourir, ma foi je ne pouvais pas t’abandonner parce que je t’aimais et je pouvais pas trahir ma promesse répliquant alors.
- On est vachement..dans la merde..
Je te remerciais pour m’avoir au moins aider à me tenir, et de m’avoir sauver de ces torturés en les éradiquant quand même à en décimer une bonne partie mais cette odeur me prenait toujours le nez. Tu me demandais d’où je viens, je te pointais du doigt m’en souvenant bien.
- Oui..là bas..
Gardant mon pistolet en main on avançais peu à peu.

Les Torturés
18-05-2023 21:06:49
Vous empruntez le tunnel d'où venais Akono. Pour lui, c'est du connu, pour Kieta, c'est une découverte totale. Vous marchez pendant un certain temps dans une obscurité des plus totale, distinguant à quelques mètres devant vous tout au plus.
Vous arrivez là où Akono s'est réveillé : une grande salle circulaire avec une eau saumâtre et nauséabonde au milieu. Vous marchez sur des grilles une fois à l'intérieur et il semble y avoir 2 étages au dessus, eux aussi constitués par des grilles. Des cocons pendent du plafond avec des corps pendu la tête en bas. Des fourmis géantes grouillent ici et se promènent sur les corps. Il y a aussi quelques torturés aux murs. L'endroit fait froid dans le dos.
Vous avez plusieurs sorties accessible à votre "étage" ou vous pouvez tenter de monter et espérer trouver mieux...

Kieta Moriko
21-05-2023 21:01:15
Bras dessus bras dessous j'essayais tant bien que de mal d'avancer vers ce que je pensais être la sortie.. Tu disais toi même que nous étions dans la merde et je ne pouvais que être d'accord avec toi.. bordel oui on étais dans une merde pas possible. On ne sais pas où sortir, en plus tu es blesser, je suis fatiguée et peu couverte..
-Sa me casse les c#illes.. Chuchotement
Nous avançons selon tes directives arrivant à l'endroit où tu étais entreposé. J'avais déjà assez vomi mes tripes pour que l'odeur ne me dérange plus. J'essaye donc de montrer puisque le but étant de sortir de ses putains de labyrinthe. Mon arme en main je tenais légèrement moins Akono pour pouvoir tirer en cas de besoin sur les fourmis géantes. Les pas feutré dans la vase où nos jambes semblais nager et mes yeux regardant les détails de la pièce pour éviter une bête erreur.

Akono Lyriachi
22-05-2023 19:19:25
Malgré que tu sois là, et que nous avions une chance de nous en sortir, mentalement j’étais plus moi même. Juste quelqu’un qui avait envie de tuer pour tuer et de s’en sortir par tout les moyens mais avec ma blessure cela allait être une tache assez complexe qui allais aucunement nous faire de cadeaux, bien sûr je grinçais de dents et grognais. Quel idée de faire du bruit pour rien si ça en devait attirer d’autre, je te regardais légèrement avant de serrer ma poigne sur la poignée de mon arme de poing tout en regardant devant avec de la concentration, chaque détail étant utile. Le bruit l’étais tout autant essayant de me repérer par ça aussi, la merde ou nous étions jusqu’au cou allais pas s’arrêter là où même dans le pire des cas..l’un de nous deux y restera pour que l’autre puisse survivre. Loin de là imaginer que je pouvais te perdre mais rien que de penser à ceci mon cœur en était poignarder d’un violant coup de couteau suivi de long frisson dans mon dos. Une sensation que je n’ai plus ressenti depuis bel lurette m’enfin, je ne savais plus où on en était..le temps était un terme inconnu à mes yeux à présent ayant perdu toutes notions du dehors étant forcer a rester prisonnier ainsi qu’en captivité. Les termes réel mais il y’avait bien pire que le temps présent..
- Essayons de sortir le plus vite possible.
Le verbe essayer était bien placer qui était une forte réalité, qui a dis qu’on y arriverais. Qui a dis qu’on survivrais tout les deux..notre marche me faisais réfléchir mais plus je passais de temps dans cette endroit plus je m’adaptais..plus je commençais devenir fou. Insensible, je m’appuyais tant bien que mal alors qu’on avançais vers cet endroit où j’étais présent de plus en plus. Je sentais tout de même une pression palpable.

Les Torturés
23-05-2023 16:43:58
Vous avancez un peu dans la pièce, plongeant jusqu'à la taille dans l'eau noireatre et saumatre au milieu de la pièce. L'odeur est infecte, un mélange de putréfaction et de déjection qui vous retournerais l'estomac s'il vous restait quelque chose à vomir.
Les fourmis semblent plus occupés avec les cocons qu'avec vous, ce qui vous rassure. Par contre, Akono peut sentir malgré le garrot que plonger sa jambe dans l'eau provoque une douleur nouvelle, le ralentissant un peu plus.
Mais tout cela n'a que peu d'importance car, malgré la pénombre du fond de cette pièce, vous entendez des piaillements venant du dessus. Assez modérés mais nombreux, juste assez pour attirer votre attention sur un torturé géant qui sort d'un tunnel à l'étage. Une chance que vous ne soyez pas monté. Il est accompagné d'une nuée de petits torturés autour de lui et ne semble pas vous avoir remarqué... Pas encore...

Kieta Moriko
29-05-2023 09:46:02
Nous avançons à tâtons mon arme ne quitte pas ma mains et je veux nous sortir de cette merde sans fond. Mon regard porte sur tout les ennemis qui commence à afflué dans la pièce ou les chemins qui s'offre à nous.
Pas un bruit, pas une respiration plus lourde que l'autre, l'eau ou nous étions ne bougeait que très peu et mon regarde portais sur toi de temps à autre continuant à avancer vers le chemin choisi.

Akono Lyriachi
30-05-2023 21:49:49
Ayant tout de même repris assez de force, j’avais des cernes sous les yeux preuve de fatigue a force de rester dans cette situation autant périlleuse que les autres même si le pire a déjà été vécu auparavant. Mon arme dans la main je la tenais plus fortement pour éviter de la lâcher avant de pouvoir légèrement me déplacer sans peine profitant de faire moins de bruit pour pas se faire repérer, mon regard croisais le tiens quelques fois. Avant de tourner la tête entendant le bruit des piaillements au dessus.
- Merde à la fin…!
Je commençais à en avoir marre mais j’avançais tout de même dans la direction choisis tout en faisant gaffe à chaque détail sonore et au visuel qui limiter.