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Bureau du gérant (Oria, William)

Le Dernier Verre - 3ème étage

Bureau du gérant - 18/01/2023


William Dyers

18-01-2023 23:32:47

J'ai beau avoir eut l'impression qu'Oria me suivait tout du long de ma visite, je remarque en me retournant une fois dans l'ascenseur qu'elle a réussit a récupérer ses affaires qui inclut, entre autre, un casque de moto. Peu commun comme moyen de locomotion ici et pourtant pas idiot. Je détaille rapidement du regard ses effets pendant qu'elle m'explique avoir simplement utilisé le jour le plus calme en terme de clients.

  • Parfait alors. Il faudra conserver le marché en cet état maintenant, même si j'imagine que c'était déjà dans tes objectifs personnels.

J'ai un petit regard complice à la lapine avant de me reporter à la porte en face de nous. L'ascenseur ralentit jusqu'à s'arrêter, les portes s'ouvrent et j'emboite le pas dans le couloir, me dirigeant directement vers mon bureau soit la première porte du couloir. J'ouvre la porte en laissant Oria entrer la première et la suis en retirant ma veste.

  • Bienvenue dans mon bureau. Tiens, prends un fauteuil, tu peux déposer tes affaires à l'entrée si tu veux. Je te sers quoi ? Whisky ?

Oria Levenski ~ Responsable des esclaves

18-01-2023 23:57:47

Oh oui, c'était bien son intention de venir garder le marché dans cet état, et elle avait d'ailleurs beaucoup d'idées pour le marché. Dans un sens, elle était heureuse de ne pas avoir rencontré l'employeur qui l'avait fait venir dans cette ville. Cette nouvelle profession était des plus enrichissante pour elle et pour le moment elle s'y plaisait beaucoup. Continuant de le suivre à le sortie de l'ascenseur, la lapine le remercia d'un sourire quand il se fit gentleman en la laissant passer la première. Déposant alors sa veste et son casque au porte manteau avant d'observer le lieu. Puis son regard fut frappé par la beauté de son bureau et surtout par l'immense bibliothèque qu'il possédait. Dans un lieu comme celui-ci, la responsable pourrait passer des heures à lire un livre assise face à la cheminée, celle ci donnant une ambiance tout à fait propice pour ce genre d'activité. William viendra à la ramener à la réalité quand il lui proposa de s'installer, ce qu'elle ira faire, profitant de l'assise confortable du fauteuil.

  • Ecossais j'espère, je n'en ai pas bu depuis longtemps

Continuant d'observer l'endroit avec ses yeux vairons, elle repose ensuite son regard sur lui avec un petit sourire.

  • Je pense que je vais devenir jalouse de votre bureau par contre Mr Dyers

William Dyers

19-01-2023 17:12:25

A peine rentré, je vois le regard d'Oria se promener dans la pièce avec ces petites étoiles, fascinée par l'endroit comme un enfant peut l'être à Noël. Elle me suis sur la boisson en acceptant le whisky avec un trait d'humour flashback, se remémorant surement la discussion que nous avions eut à son arrivée.

  • Bien entendu écossais, c'est un 30 ans d'âge, une pure merveille.

Près du mur, pas très loin de mon bureau, se trouve une petite table faisant office de bar et, sur celle-ci, une bouteille en cristal qui contient le dit liquide ainsi que quelques verres. J'en sers deux, faisant un petit rire en entendant la remarque de la lapine concernant la pièce.

  • Je conçois et je le prend comme un compliment. C'est une pièce qui était pensée pour recevoir les puissants de ce monde - ou du moins de cette ville - et, à défaut, c'est un lieu agréable où travailler. Si cela peut te donner une raison de venir me voir plus souvent, moi je suis d'accord ! Tu prend ton whisky avec de la glace ?

Oria Levenski ~ Responsable des esclaves

19-01-2023 18:07:51

Heureuse qu'il se souvienne de leur échange par rapport à l'alcool, elle replace une mèche de cheveux en souriant timidement tout en observant du coin de l'oeil les ouvrages présent. Une de ses oreilles viendra a se tourner en entenant le blond remplir leur verre. De la elle pouvait déjà sentit la douce odeur du bravache qu'elle allait gouter.

  • Ne me dite pas cela voyons, je risque de passer mon temps ici a chacune de mes pauses pour lire un ouvrage au coin de la cheminé Mr Dyers. Et je le prendrais sans glace pour ma part

William Dyers

19-01-2023 22:02:10

J'attends la réponse d'Oria et, vu qu'elle le prend comme moi, sec, je viens lui apporter son verre puis m'assoit dans le fauteuil en face. Sa remarque me fait sourire et je fais une petite moue en haussant les épaules

  • Ce n'est pas dit que ça me dérange. Je ne suis jamais contre un peu de compagnie tu sais ? En particulier lorsqu'il s'agit d'une femme.

Je m'installe confortablement dans le fauteuil avec un petit mouvement du fessier puis lève le verre à la lapine. Je viens simplement tremper mes lèvres dans le liquide, juste assez pour profiter de l'arôme de l'alcool.

  • Comment se passe ces premiers jours alors ? Contente de ton poste ?

Oria Levenski ~ Responsable des esclaves

19-01-2023 23:31:10

Ses yeux vairons continuait d'observer William avant de le remercier d'un regard quand il lui apporta son verre. De légère rougeur viendront à apparaître quand il lui annonça que sa compagnie ne viendra pas à la déranger. Croisant les jambes sur le côtés, comme si elle portait une jupe, elle lèvera à son tour son verre avant de humer le liquide en fermant les yeux. Différent du whiskey qu'elle lui avait fait goûter la dernière fois, celui ci aurait été un vrai sacrilège de pas le servir dans un verre. Buvant à son tour une petite gorgé, elle laissa le liquide réchauffer son corps avant de rouvrir les yeux pour observer son patron.

  • Tout ce passe pour le mieux, les vendeurs m'on aidé à prendre rapidement mes marques. Et pour tout vous avouez je suis bien contente de ne pas avoir rencontrer l'employeur qui m'avait fait venir ici, ce poste est très enrichissant je trouve

William Dyers

21-01-2023 12:02:01

Maintenant tout deux assis, j'ai l'impression que la lapine se détend enfin. Encore que ce n'est surement qu'une impression par le fait que je ne fois pas sa petite queue remuer presque continuellement. Elle boit une petite gorgée du whisky avant de me répondre, se disant heureuse de son poste et même heureuse de ne pas avoir eut le job qui l'avait fait venir à Langdorf.

  • Je ne sais pas quel était cet emploi mais je confirme, il a bien fait de ne pas donner suite. Ce n'est pas moi qui m'en plaindrais en tout cas et je suis content que tu te plaise ici.

Je reprends une petite gorgée de whisky et détourne mon regard sur la bibliothèque. La lapine m'a parler de livre et je me demande bien lesquels ont pu attirer son attention. Je passe aussi mon regard sur la cheminée, fermée et éteinte et fait un petit soupire

  • La prochaine fois je ferais un feu. Enfin, si tu ne viens pas avec une peau de bête pour t'y allonger. Là, je ne répondrais plus de rien. Mais un peu de chaleur naturel dans cette période, ce serait idéal.

Oria Levenski ~ Responsable des esclaves

21-01-2023 15:51:00

Gardant son verre dans la main, elle continuait de regarder son employeur dans les yeux avec un petit sourire timide. Jusqu'à ce que de petite rougeur apparaisse sur ses joues quand il fit l'allusion à une peau de bête. Rigolant même légèrement, elle pensait à son petit chalet qu'elle avait fait construire. Que ce passerait-il s'il venait chez elle avec son ambiance assez rustique et chaleureuse ?

  • Je ne connaissait pas son nom mais mon ancien patron m'avait dit que je le reconnaitrais facilement avec sa canne et son immense balafre sur le visage. Peut-être le connaissez vous ?

William Dyers

21-01-2023 21:04:35

La lapine me parle brièvement de son employeur premier, celui qui l'a motivée à venir en ville. Les caractéristiques physiques qu'elle me donne sont significatives et si je pense tout d'abord à Nathan qui fait beaucoup parler de lui pour sa canne ces derniers jours, la balafre l'exclue rapidement et me met sur la bonne piste.

  • Oh, M. Legrand j'imagine. Une personne fiable, bien qu'un peu lubrique si je me fis aux bruits de couloirs. J'imagine qu'il a d'autres priorité maintenant qu'il travaille pour les siciliens que d'avoir une comptable... Secrétaire ? Enfin quelle que soit la raison pour laquelle il pensait t'employer.

Je regarde Oria avec un petit sourire, bien content de l'avoir dans mon équipe. Pour la énième fois, je la détaille du regard avant de reprendre.

  • Je ne te pensais pas motarde d'ailleurs. C'est un excellent choix pour se déplacer en ville mais j'ai toujours du mal à imaginer une femme sur un gros engin. Sans doute mon côté vieux jeu.

Oria Levenski ~ Responsable des esclaves

21-01-2023 21:11:38

A l'annonce de ce fameux "Legrand", son regard se vis quelque peu froid. Clairement elle était très contente de ne pas l'avoir rencontrer car jamais elle n'aurait jamais travailler pour lui. Pas avec le passé qu'elle avait eu avec lui. Reprenant son calme, elle but une gorgé de son alcool. Ce n'était clairement pas le moment de parler de cet abrutit de Mark. Rigolant légèrement quand il viendra à faire la remarque de son moyen de transport, elle l'observa de ses yeux vairons.

  • Après je ne conduis pas de sportive, met une Harley. J'ai fait la route de la France jusqu'ici avec. Et vous, comment vous déplacer vous généralement en ville Mr Dyers ?

William Dyers

22-01-2023 00:39:03

Le changement d'expression lorsque je prononce le nom de Mark est si flagrant que je peux difficilement le rater. Je ne sais pas quel passif il y a entre les deux mais c'est un sujet qu'il faudra aborder avec des pincettes s'il revient sur la table. Heureusement, le froid que j'ai jeté se dissipe bien vite lorsque je la questionne sur sa moto. Oria retrouve le sourire et me rend mon regard tout en me répondant.

  • Une Harley ?! Rien que ça. La route n'a pas dû être évidente. Pour ma part, j'ai un chauffeur et, compte tenu du poste que j'occupe, je me déplace en véhicule blindé. On n'est jamais trop prudent.

Avec un petit sourire, je soutiens son regard puis je prend une nouvelle petite gorgée de whisky avant de reprendre.

  • Vous venez de France, c'est vrai. Ca ne vous manque pas ? Enfin j'ai entendu dire que c'était un pays très porté sur la cuisine et je doute que vous retrouviez votre bonheur dans notre ville.

Oria Levenski ~ Responsable des esclaves

22-01-2023 23:33:47

Etrangement cela ne l'étonna que très peu de savoir que William avait non seulement un chauffeur mais aussi un véhicule blindé. Avec une ville comme Langdorf, c'était la moindre des choses à avoir, surtout avec le poste qu'il occupait. Buvant de temps à autre son verre, elle laissait le liquide réchauffer son corps. Même ses petites joues prenait quelque couleurs.

  • Avant de m'installer en France je vivais en Angleterre, j'aime le changement, découvrir de nouvelle chose. Si vous le souhaitez un jour je vous emmènerais faire un tour en Harley, je ne propose pas ça à tout le monde alors vous pouvez être chanceux Mr Dyers

Elle continuait de l'observer, son pon-pon frétillant légèrement sans qu'il ne puisse le voir.

  • Et par pitié tutoyez moi je vous en pris

William Dyers

23-01-2023 19:07:40

Oria m'explique être bien originaire de France mais m'avoue avoir vécu en Angleterre. Encore un pays que je connais mal, hormis pour le peu dont Nathan a pu me parler. Elle m'invite ensuite à faire un tour de moto, proposition étonnante mais qui mérite réflexion. Enfin, qui aurait mérité car Oria me reprend à nouveau sur mon vouvoiement, me faisant rire de gène.

  • ahahah, j'essaie pourtant d'y faire attention mais les habitudes ont la vie dure. Ca va venir, ça va venir, ne t'en fait pas. Et je suis déjà chanceux d'avoir une responsable de si bonne qualité. A la fois bonne dans son travail et, reconnaissons le, agréable à regarder. Ce n'est pas exclu que j'accepte cette invitation un de ces jours, juste pour voir.

Je remarque que nos verres sont pratiquement vides. Un bon whisky a beau se savourer, comme tous les whisky, il finit par ne plus y en avoir dans le verre. Je lui montre mon verre et le désigne de mon autre main.

  • Un autre ? Peut être pas très raisonnable mais ça fait bien longtemps que ce n'est plus un critère que je considère.

Oria Levenski ~ Responsable des esclaves

24-01-2023 18:27:35

Ses oreilles se mirent légèrement à frétiller en l'entendant rire, un son agréable pour la lapine. Comprenant que c'était encore un peu compliqué pour son patron de la tutoyer étant donné qu'il se connaissait a peine. A nouveau elle viendra à rougir légèrement en entendant le compliment de William, ses oreilles se penchant même quelque peu sur le côté. Il l'aurait connu quelques années plutôt il n'aurait pas eu le même discours et n'aurait ça se trouve même pas poser un regard sur elle. Oria viendra à regarder sa montre à son poignet quand il lui proposa un autre verre, le siens étant vide. Naturellement elle viendra lui tendre avec un petit sourire.

  • Et bien j'ai fini ma journée de travail et comme me le disait souvent mon ancien patron, il faut boire avec modération. Vous connaissez modération vous ? Car j'aimerais beaucoup le rencontrer un jour

William Dyers

25-01-2023 23:41:47

Je remarque la réaction de la lapine à mon compliment. Je crois que c'est la première fois que j'avoue apprécier son physique. Généralement, je n'aime pas partager ce genre d'impression et de relation avec mes employés mais l'alcool délie les langues, en particulier quand il a vécu plusieurs dizaines d'années en fût de chêne. Après un regard pour sa montre, Oria fait un trait d'humour qui me fait sourire sur le moment avant que je reprenne, aussi sérieux que possible.

  • Je crois que c'est le petit nom que je donne à mon sexe. Popol ça fait tellement démodé et comme ça, il trempe dans beaucoup d'histoire.

Je me lève en pouffant de rire. Mes bêtises me feront toujours rire je crois. Je vais vers la petite table prendre la bouteille de whisky et viens en servir une seconde dose à la jeune fille avant de me servir aussi et je me rassois dans mon fauteuil, posant la bouteille sur un meuble non loin.

  • Et... Quitte a glisser sur le sujet, il n'y a pas de M. Levenski mais il n'y en a jamais eut ? Ou peut être plutôt une madame ? Je n'ai aucun soucis avec si c'est le cas, saches le

Oria Levenski ~ Responsable des esclaves

26-01-2023 00:11:24

Ses joues toujours légèrement rouge a son compliment, la lapine continuait de le regarder de ses yeux vairons. L'alcool n'aidait pas non plus à calmer ses rougeurs, elle tenait l'alcool et la rendait même un peu moins timide. Elle viendra même à rigoler légèrement en entendant le petit surnom qui donnait à son attribut masculin. Très cliché d'ailleurs ne nous mentons pas. Prenant le verre qu'il venait à lui tendre, elle viendra à croiser les jambes sans le quitter des yeux.

  • A part mes parents aucun Mr ou Mme Levenski. Ca fait d'ailleurs un moment que je n'ai pas partager ma couche avec quelqu'un

L'alcool déliait les langues et un peu trop celle de Oria, qui viendra a rougir suite à ce qu'elle venait de dire. Gêné, ses oreilles viendrons à se plaquer de chaque côté de sa tête. Il lui fallu quelque instant pour se reprendre et aussi une bonne gorgé d'alcool.

  • Et vous ? Vous devez surement avoir une Mme ou un Mr Dyers à vos côté ? Un homme de votre stature ne doit pas souvent être seul je pense

William Dyers

26-01-2023 01:35:18

Pour le moins perspicace, la lapine a une réponse très habile qui aurait pu complétement détourner la conversation en usant de ses parents. Mais elle me répond malgré tout par la négative, avouant même un peu plus que ce que j'avais demandé. En tout cas, vu sa réaction, ça semble lui avoir échappé et je trouve cela assez mignon. Nous prenons une gorgée simultanément avant qu'elle ne me retourne la question.

  • Ah. Ma vie sentimentale est malheureusement compliquée. Je me suis bien marié à une époque mais ma femme a disparu depuis longtemps. Je pense que je ne la reverrais pas désormais. C'est la contrepartie de mon métier : je vis dangereusement et mes proches encore plus. J'aimerais pourtant avoir une descendance mais je n'ai pas encore trouvé de bon parti pour cela.

Je fais un soupir, à la fois déçu et triste en réalisant que je ne reverrais surement jamais Hanaé et que la vie n'est pas tendre avec moi concernant l'amour. Mais je ne me laisse pas abattre bien longtemps et reprends en redressant le regard avec un sourire un peu forcé

  • Par contre j'ai la chance d'avoir une esclave pour ce qui est du sexe depuis quelques semaines et je dois bien reconnaitre qu'avoir des rapports sexuels réguliers a grandement amélioré mon moral. J'ai même l'impression que je vais mieux : meilleur santé, moins de fatigue, moins de douleurs... Sans vouloir paraitre indiscret, tu n'as personne dans ta couche par choix ou par manque de prétendant convenable ?

Oria Levenski ~ Responsable des esclaves

26-01-2023 02:08:54

Il est vrai que le poste de William était pour le moins risquer et que garder une épouse à ses côté devait être pour le moins compliqué. Devoir se protéger était une chose mais protéger ses proches devait être dangereux car cela pourrait être une faiblesse à exploiter pour le blond. Voyant alors sa mine quelque peu triste, elle posa une main sur son genoux avec un sourire timide qui se voulait rassurant. Mais voyant son contact physique quelque peu trop proche, elle retira sa main en rougissant tout en continuant de l'écouter. C'est alors qu'il viendra parler de ses contacts avec son esclaves. C'est vrai que les contacts physique étaient le meilleurs des remèdes.

  • Et bien .. Voyez vous ..

Elle fut légèrement gêné et attrapa sa mèche de cheveux un peu plus longue pour l'entortiller autour de son dos.

  • Je n'ai pas toujours eu cette apparence, il y a quelques années vous n'aurez surement pas posé un regard sur moi. Ca à laisser des séquelles sur mon corps que j'ai du mal à assumer une fois dénuder

La lapine continuait de boire son verre tout en baissant le regard, ses oreilles s'agitants quelques peu en avouant cela. Elle n'avait plus de timidité en elle quand elle buvait et avec un alcool aussi fort et bon ...


William Dyers

26-01-2023 18:23:59

Oria est la première a créer un contact physique entre nous après m'avoie entendu parler de ma femme... Ou plutôt ex-femme désormais. A sa manière, elle trouve à me consoler en me ramenant sur terre, un peu comme on tend la main à quelqu'un qui se noie pour le sortir hors de l'eau. Main qu'elle retire d'ailleurs bien vite sans en dire plus à ce sujet. Peut être un peu trop proche pour un premier contact

Lui demander les raisons de son célibat n'arrange rien à sa gène d'ailleurs. Avec une grande timidité, sans oser me regarder, elle me parle de son histoire sans entrer dans les détails. Elle parle de séquelles laissées sur son corps qu'elle n'assume pas vraiment et cela pique ma curiosité. Une hybridation post-natale ? Peut être même tardive. Ou bien une chirurgie esthétique qui a mal tourné ? Peut être simplement des cicatrices disgracieuses ? Mais une petite part de moi ne peut s'empêcher de se dire qu'elle pourrait être bien être né d'un autre sexe.

  • Je vois. Tu as besoin d'une confiance encore plus grande envers ton partenaire pour te montrer alors. Écoute, je ne sais pas ce dont il s'agit mais ce qu'on était avant, ça ne compte pas. C'est ce qu'on est aujourd'hui qui compte et moi je vois un très jolie jeune femme qui ne manque pas de charme en plus d'être professionnelle.

Je lui fais un petit sourire sincère et, de la même manière qu'elle a cherché à me rassurer, je viens poser une main sur sa jambe au niveau de son genou. A l'exception près que je ne la retire pas ni ne la bouge. C'est peut être ce mouvement qui nous rapprocheras assez pour que je la tutoie sans même y penser.

  • Regarde moi par exemple, j'ai tout un paquet de cicatrices sous ce costume et je le vis très bien. Ca fait des histoires à raconter. Certains aiment, d'autres non, c'est ainsi. En vérité, je pense même que dans d'autres circonstances, j'aurais cherché à avoir une autre relation avec toi. Peut être même à me marier avec toi, qui sait ?

Oria Levenski ~ Responsable des esclaves

01-02-2023 04:19:36

Levant doucement ses yeux vairons en regardant son patron, elle eu un doux sourire en entendant qu'il essayait de la réconforter. Cela lui faisait chaud au cœur. Le passé était passé et elle devait toujours avoir un regard porter sur l'avenir. Un avenir ici, dans cette ville, du moins elle l'espérait. Son regard viendra à se poser sur la main posé sur son genoux. Sauf que a contrario il la laissa sur son genoux, comme pour appuyer ses propos et la rassurer.

  • Mes cicatrices sont disgracieuses, les vôtres doivent raconter une histoire, voir même vous embellir

La lapine écarquilla les yeux en écoutant sa dernière question. Relevant les yeux vers lui, elle le regarda quelque instant avant de doucement rigoler. Lui alors, elle ne savait pas si c'était sérieux ou pas mais dans ton les cas cela viendra à la détendre.

  • Cela serait un grand évènement si le chef de cette ville viendrait à se marier je pense, j'espère au moins que je serais invité si cela viendrais à arriver

William Dyers

01-02-2023 08:26:28

Difficile de dire si mes mots arrivent à toucher la lapine. Elle a bien un sourire et ne semble pas particulièrement gênée par la présence de ma main sur sa cuisse. De là à dire qu'elle est convaincue, peut être pas. Pour elle, ses cicatrices sont laides là où les miennes sont l'occasion d'une anecdote et joue sur mon charme.

Toutefois, la suggestion d'un mariage fait son effet et je la vois rougir d'un coup. Sans doute imagine t elle la situation avant de se mettre à rire et de détendre l'atmosphère en détournant la conversation sur l'événement en lui même et non la possibilité qu'elle soit ma femme.

  • Le dernier mariage a été fait en petit comité, je n'ai jamais été très fan des grands événements. Encore qu'avec la réception du nouvel an, je me dit qu'il faut peut être évoluer et fêter ce prochain mariage dignement. Nous verrons bien.

Je retire ma main de sa cuisse en me réinstallant dans mon siège, le temps d'une petite gorgée alcoolisée. Ma curiosité reste piquée concernant ses fameuses cicatrices et, l'alcool aidant surement, je viens poser mon verre pour me redresser dans mon fauteuil pour défaire ma cravate, la retirer, puis ouvrir ma chemise pour révéler sans honte ni gène mes cicatrices.

  • Allez, montre moi ces cicatrices. Je n'arrive pas à croire que ça puisse être si terrible. Puisqu'il faut se rapprocher pour que je te tutoie naturellement, montrons nous respectivement ce que la vie nous a laissé comme souvenir.

Oria Levenski ~ Responsable des esclaves

01-02-2023 09:08:02

Oria viendra à l'écouter parler d'une réception qu'il avait surement organisé pour la nouvelle année. Elle aurait bien aimée y participer, la jeune femme n'avait pas assister à des réceptions ou des galas depuis qu'elle avait quitté les terres anglaises. Avec un air de nostalgie, elle viendra à boire une gorgé d'alcool tout en l'observant retirer sa main. Elle faillit d'ailleurs s'étouffer avec quand elle le verra ouvrir sa chemise devant elle. Rougissant de plus belle, il lui fallu une gorgé de plus avant d'avoir un sourire légèrement joueur.

  • Quand je disais que vos cicatrices vous rendais plus beau j'avais raison, ça vous donne un petit air de mafieux

La lapine observait discrètement son torse même si elle se focalisait principalement sur son regard. Rigolant ensuite légèrement, elle posera à son tour son verre. Après un petit moment de réflexion, elle lèvera son débardeur rouge jusqu'en dessous de son soutien gorge. Un ventre légèrement dessiné mais couvert de vergetures. Détournant le regard, elle restait tout de même gêné.

  • Et j'en ai aussi sur les cuisses et au niveau de la poitrine .. Quand je vous disais que vous n'auriez surement pas porter un regard sur moi c'est que peu de monde s'intéresse aux obèses Mr Dyers

William Dyers

01-02-2023 09:52:54

Oria ne s'attendait surement pas à me voir ainsi, avalant de travers son whisky en me voyant ouvrir ma chemise et toussant aussitôt. Le rouge lui monte aussitôt aux joues et elle regarde mon torse par petits regards brefs, comme si elle cherchait à le faire en cachette ou de manière détournée. Je ne sais pas si c'est mon statut de patron ou l'absence d'homme dans sa vie que la fait réagir ainsi mais de mon côté, je n'ai aucune gêne particulière à lui montrer ma peau meurtrie.

Elle hésite à suivre ma demande et honnêtement, je m'attends à tout. Une cicatrice profonde qui lui parcours le corps, un muscle manquant, une chirurgie esthétique ratée et même qu'elle baisse son pantalon. Mais non, j'ai tort sur toute la ligne. Elle remonte son haut et me montre son ventre strié de ligne rouge, bleue ou pourpre. Je la regarde sans trop comprendre mais quand elle m'explique avoir été obèse, tout s'explique. De simples vergetures, de la peau déchirée de l'intérieur.

Je suis tellement étonné de la réponse qu'il me faut un certain temps pour assimiler l'information. Je m'attendais tellement à un changement de sexe que son problème me semble presque anodin sur le moment mais je contextualise peu à peu et après un long instant où j'ai surement remué les lèvres en cherchant les mots appropriés, je reprend enfin.

  • Je comprends mieux, oui. Ca ne doit pas être facile de passer d'un physique sur lequel personne ne se retourne à celui que tu as aujourd'hui et qui doit t'attirer tous les regards et les envies. Vu mon établissement et les poupées qui y travaille, je suis bien mal placé pour dire le contraire.

La surprise passé, je me redresse un peu pour observer les vergetures qu'elle me montre. Si elles peuvent paraitre laide pour certains, j'y vois un certain charme. Comme une forme de tatouage chaotique ou un mouchetage d'animal. Je remonte mon regard vers son visage, sentant bien sa gène d'avoir à me montrer ce passif qui doit lui être compliqué.

  • Je conçois que ça ne colle pas aux exigences de beauté mais je ne trouve pas ça déplaisant. Je trouve même que ça te donne un charme, comme une route toute tracé où passer sa langue ou... Autre chose. Tu permet que j'y touche ? Avec les doigts j'entends, juste pour voir la sensation que cela peut procurer.

Oria Levenski ~ Responsable des esclaves

01-02-2023 10:32:41

Les oreilles plaqués de chaque côtés de la tête, le débardeur relever de sa main droite, la gauche était refermé sur sa propre cuisse. Ce n'était pas souvent qu'elle montrait ses cicatrices sous la lumière. Elle avait du mal à affronter le regard du blond mais après un petit moment, ses yeux vairons se lèverons sur lui. A quoi pensait-il ? La trouvait-elle hideuse ? Non clairement pas. Il semblait même surpris d'une telle révélation.

Après tout, elle ne croisait que de belle et jolie jeune femme dans l'établissement. Et avec les esclaves qu'elle vendait, Oria avait de quoi jalouser leurs peaux des fois parfaites. Une oreille viendra à se redresser en le voyant se rapprocher légèrement d'elle pour observer les stries sur son ventre.

  • Un charme ? Vous devez bien être le premier à me dire ça. Après je n'ai pas pour habitude de les montrer sans vous mentir ..

Attrapant son verre de sa main libre, il lui fallait bien une bonne gorgé d'alcool avec ce qu'il venait de lui demander. Timidement, la lapine viendra à attraper le poignet de William pour l'approcher de son ventre, laissant ses doigts toucher celui ci. Et heureusement que l'alcool commençait à lui monter aux oreilles, sinon elle aurait déjà fuit chez elle pour se planquer sous une pile de bouquin.


William Dyers

01-02-2023 12:31:41

Confirmant mes soupçons, la lapine m'avoue ne pas montrer facilement ces cicatrices. Pire encore, je serais le premier à la complimenter sur les marques de son ventre. Je suis assez étonné mais la méchanceté des gens n'a malheureusement pas de limite. Oria reprend une gorgée de Whisky pour se donner du courage puis prend mon poignet pour l'approcher de son ventre, me laissant toucher ses vergetures.

Je procède doucement, passant tout ma paume et mes doigts sur son ventre, juste au dessus du nombril pour sentir les sillons dans la peau. C'est plus marqué que je ne l'imaginais, comme si sa peau avait une granularité irrégulière. Chaque trace rouge est l'occasion d'un petit creux. Je suis quelques unes d'entre elle avec le bout de mon index.

  • C'est très intéressant. Bon j'ai l'impression de te faire quelque chose de très sexuel alors que pas du tout. Merci Oria.

Trop curieux, je ne résiste pas à l'envie de me rapprocher en me penchant sur le côté du fauteuil pour voir de plus près ses marques. Je ramène ma main au niveau de son rein, caressant sa peau du bout des doigts encore quelques instants avant de cesser ce qui doit être une torture pour elle

  • J'espère que je ne te fais pas mal. C'est bizarre comme parfois ça semble presque être un simple tatouage et d'autre fois, c'est comme creusé. Avec un petit haut en résille, je suis sûr que ça peut être sexy. Tu n'a jamais songé à faire un tatouage autour de ça ? A moins que ça puisse disparaitre ou se modifier avec le temps ?

Oria Levenski ~ Responsable des esclaves

01-02-2023 16:23:38

La lapina rentra légèrement le ventre en lâchant doucement son poignet alors qu'elle le laissait toucher son ventre. Il était extrêmement doux, découvrant les craquelures avec délicatesse. A certains moment elle avait un frisson alors qu'elle venait à finir son verre cul sec pour se garder du courage. C'était un sacrilège pour un alcool comme celui mais sur le moment elle en avait grandement besoin.

Timidement elle relèvera ses yeux vers lui quand il se stoppa pour laisser sa main dans le creux de son rein. Mais il avait raison dans un sens, elle aussi trouvait ça un peu sexuel. Elle n'était plus vierge certes mais chacune de ses relations c'étaient passé dans le noir le plus complet. Alors à la lumière, cela donnait un tout autre aspect à cette scène pour elle. Ses joues étaient rougis par la gêne mais aussi par l'alcool.

  • Cela ne fais pas mal non, c'est seulement plus sensible à certains endroit. Quand à les cacher en les tatouant et bien oui, ça met déjà passé par la tête, mais je me suis toujours dis que mon corps étaient assez marqué cela. Je garderais ces marques à vie, tout comme vous et vos cicatrices

C'est vrais qu'elle avait pensé à beaucoup de chose pour les cacher ou les faires disparaître mais les embellir .. Ca jamais. Au fond d'elle c'était comme une force de les avoir, elle avait juste du mal à les accepter.


William Dyers

01-02-2023 17:11:28

Bien que très gênée, la lapine me laisse découvrir les marques sur son corps. Elle ose tout juste soutenir mon regard en étant ainsi exposée mais réponds à mes interrogations. Je n'insiste pas plus, retirant ma main pour me réinstaller dans mon fauteuil et lui resservir un verre.

  • J'aime. J'aime beaucoup. Et j'apprécie beaucoup que tu ais accepté de me les montrer, en particulier si je suis le premier à les voir. J'adorerais les relier avec un stylo ou même les lécher du bout de la langue. Très sensuelle comme découverte.

Une fois le verre servit, je viens déboutonner mes boutons de manchettes. Je me lève pour la retirer sans un mot et je viens me poster devant la lapine. Je suis très grand, elle non et ses bras n'étant pas extensible, je viens me mettre à genoux devant elle. Je la regarde en plissant les yeux.

  • Je ne me met pas à genoux devant n'importe qui, saches le. Regarde moi, n'ait pas peur. Il n'y que toi et moi et une bouteille de whisky... Et peut être quelques autres.

Je bombe le torse, posant mes mains sur le bout des accoudoirs de son fauteuil, l'enfermant dans une prison intime entre elle et moi. Comme moi, je la laisse découvrir mon corps mais sans la moindre gène. Je suis même prêt à l'aider si vraiment la gène est trop intense.


Oria Levenski ~ Responsable des esclaves

01-02-2023 17:39:16

L'observant se rassoir correctement, elle eu un rire en entendant la proposition qu'il faisait sur son corps. Il aurait du travail en plus, il n'avait découvert que son ventre. Même elle n'avait jamais eu l'idée de les tracer au stylos. Le remerciant d'un sourire quand il lui resservit un verre, elle ferait attention à ne pas le quiller cette fois ci. Par contre plus ça allait et moins elle serait en capacité de reprendre sa Harley pour rentrer chez elle. C'est à ce moment la qu'il prit la décision de retirer sa chemise, et même si la lapine avait lâcher son débardeur, celui ci tombant à peine à la moitié de son ventre.

Ecarquillant les yeux quand il s'installa à genoux face à elle, avec les bras du blond, elle se sentait prise au piège. Mais une cage plutôt agréable a vrai dire. Remercions ce merveilleux whiskey, elle eu le courage de venir découvrir les cicatrices de son patron. Délicatement elle posa le bout des doigts de sa main droite sur le torse avant de les suivre doucement. Certaines plus profondes que d'autres et quand on s'attardait quelque instant on en voyait des plus ancienne, ne laissant qu'une fine ligne blanche.

  • Si je continue à boire je ne serais plus capable de rentrer chez moi et je serais obliger de devoir louer une chambre ici. Après qui sait, peut-être que le patron de l'établissement sera d'âme charitable en me faisant une petite réduction sur une chambre ~

Peut à peut sa main se posa à plat sur son torse pour continuer de découvrir celui-ci tout en observant le blond.


William Dyers

01-02-2023 17:55:10

Oria fait de grands yeux en me voyant arriver torse nu. Je ne sais pas ce qui lui passe par la tête en me voyant m'installer devant elle mais, assez rapidement, elle semble à l'aise et viens d'elle même découvrir mes cicatrices. Des coupures plus ou moins profondes, des balles reçues, des éclats de métal. Toute une vie de mort gravées dans ma chaire et suivit par ses petits doigts.

Elle prend la parole pour me signaler qu'elle sent déjà qu'elle a trop bu pour rentrer, se demandant si je lui ferais un prix si elle reste dans une chambre. La demande est un peu étonnante mais certainement plus raisonnable aussi. Fronçant les sourcils avec une discrète grimace, je lui réponds :

  • Allons, pas de ça entre nous. Je ne te fais pas payer dans ce genre de cas. C'est de ma faute si tu n'es pas en état de rentrer, ce serait de l'extorsion.

Je lui souris, sentant sa main devenir plus sûr, plus aventureuse, un réel contact de sa part. Je remarque d'ailleurs quelques vergetures encore visibles, son débardeur étant encore légèrement relevé et, vu ma position je ne résiste pas à l'envie qui me titille depuis que je les ai vu. L'alcool n'aide en rien dans ces situations. Je me penche sur elle jusqu'à venir poser un petit baiser sur sa peau au niveau d'une de ses vergetures et, après un rapide regard, je viens déposer le bout de ma langue à la base de celle ci pour la remonter entièrement. C'est comme un jeu d'enfant et je pouffe de rire une fois terminé.

  • Désolé, je n'ai pas pu résister. C'est juste rigolo.

Oria Levenski ~ Responsable des esclaves

01-02-2023 18:36:12

Son pouce viendra à doucement caresser un impact de balle alors qu'elle continuait de l'observer de ses yeux vairons. Rigolant légèrement quand il viendra à dire que cette situation était sa faute, elle était techniquement aussi fautive que lui. En règle général elle faisait toujours attention quand elle prenait sa moto mais la situation avait quelque peu dérapé au moment ou il avait sortie cet alcool si bon.

Son autre main finira par se poser sur son épaule, celle ci découvrant plutôt la masse musculaire. C'est la qu'elle le verra s'approcher d'elle et faire quelque chose qui la surpris. Embrasser et lécher une de ses cicatrices. Ses oreilles se redressèrent d'un cou a cause de la surprise et on pouvait nettement entendre son pon-pon frétiller énergiquement contre le cuir du fauteuil. A croire que son corps avait apprécier cette sensation.

  • Je .. Euh .. Mr Dyers ..

La lapine perdait ses mots alors qu'elle semblait chercher une réponse dans le regard de celui ci. Il était maintenant si proche d'elle que ça en était déconcertant.


William Dyers

01-02-2023 22:15:36

Oria n'a pas chercher à me repousser et semble même avoir trouvé la chose agréable, bien que surprenante. Elle ne partage pas mon rire, me regardant d'un air très étonné. Je retrouve rapidement mon calme en comprenant, puis me redresse pour retrouver ma pause face à elle, encore à genoux.

  • Oui, un peu trop intime peut être. Désolé, je... Je suis trop curieux parfois.

C'est toujours compliqué quand on est le leader de la ville de savoir à quel moment on partage un moment intime avec moi et à quel moment on le fait par peur des représailles. Je me redresse finalement et après un petit signe de la tête, je vais retrouver ma place sans même m'embêter à remettre ma chemise.

  • Et c'est pour cette raison que tu ne trouve pas de partenaire de couche ? Par peur de montrer les stigmates de ton passé ? Et... Plus important encore : est-ce que me les montrer t'a aidé à mieux les supporter ?

Oria Levenski ~ Responsable des esclaves

01-02-2023 23:06:20

La lapine continuait de la regarder avec une certaine incompréhension alors qu'il reprenait place dans son fauteuil. Il lui fallu quelques instant mais elle se remit bientôt à rigoler légèrement. Buvant une gorgé de son alcool, elle regarda ensuite le liquide avec un petite sourire.

  • Ca aurait peut-être plus agréable pour vous avec une goutte de cet alcool sur mon ventre ..

Durant cette phrase elle était perdu dans ses pensés avant de se souvenir ou elle était et surtout avec qui elle était. A l'heure actuel c'était surtout ce breuvage qui lui permettait de les supporter. C'est la qu'elle réalisa ce qu'elle venait de dire. Est-ce qu'elle l'avait dit à voix haute ? Dans sa tête ? En chuchotant ? La barbe ! Elle observa alors le visage de William en cherchant une réponse à sa question.


William Dyers

01-02-2023 23:43:05

Comme j'ai retrouvé ma place, je retrouve aussi mon verre et même si la peau de la lapine avec un goût assez doux et agréable, il lutte difficilement contre l'arôme d'un whisky aussi cher. Oria imite mon geste puis observe le verre en prononçant une phrase qui sonne comme une invitation.

Je regarde Oria, très étonné et après quelques instants, elle aussi sembla réaliser ce qu'elle venait de dire, tout aussi étonnée. Nous nous regardons sans rien dire, sans doute à se demander l'un comme l'autre si nous avons bien entendu la même chose. Je prend l'initiative de reprendre.

  • Tu veux que je lèche tes vergetures après que tu y ait mise un peu d'alcool ? Moi je veux bien. En plus, vu qu'il y a des petits creux, le whisky resterait bien en place et tu pourrais guider ma langue ainsi. Ce n'est pas nécessairement une mauvaise idée... Enfin, si je me suis reculé, c'est pour ne pas que tu sois gênée de me montrer ton corps. Si ça t'a plus et ça te tente, on peut voir s'il est meilleur comme ça.

Oria Levenski ~ Responsable des esclaves

02-02-2023 00:52:02

En voyant la réaction de son patron, la lapine comprit rapidement qu'elle avait dit ça à voix haute et que du coup il l'avait clairement entendu. Rougissant de plus belle, elle détourna le regard en passant une main dans ses cheveux court. Si elle continuait, qu'est ce que William allait penser d'elle ? En aucun cas elle ne voulait profiter de la situation de l'homme. Dans cette situation elle ne savait même plus si c'était un moment patron-employé ou de deux adultes consentant. Techniquement elle avait fini le travail donc on rentrait dans la seconde option et en plus l'alcool lui retirait un peu de sa timidité et avec ce que William venait de faire .. Et même lui proposait a cause de ce qu'elle avait dit. Non clairement ça n'aidait pas Oria à réfléchir avec autant de réflexion cas son habitude.

  • Excusez moi je ne sais pas ce qui ma prit en disant Mr Dyers .. Enfin William ? Je peux vous appelez William n'est ce pas ? Dans ma tête c'est plus logique ainsi. Ce que je veux dire c'est je ne sais pas ci tout ceci est une bonne idée

Se relevant elle commença a faire les cents pas dans le bureau tout en croisant un bras sous sa poitrine et en tenant son verre dans l'autre main, buvant une gorgé de ce doux liquide.

  • C'est vrai que l'ambiance est propice, même si avec la cheminé allumé ça serait mieux. Beaucoup de patron fantasme dans un sens sur leur secrétaire, alors d'accord je n'ai pas ce poste la ici je ne suis qu'une simple responsable mais dans un sens ça revient au même. Mais je n'ai clairement jamais eu ce genre de relation à mon travail. Après vous me direz on est à Langdorf, une ville ou chaque instant devrait se vivre à fond, vu qu'on peut se faire tirer dessus à chaque coin de rue. Mais chacune de me relations se sont passez exclusivement dans le noir à cause de mon corps, et ça serait un sacrilège de ne pas pouvoir voir un ci bel homme au bord de l'extase

Finissant sa tirade, elle rebu un gorgé de son verre tout en ce demandant s'il avait seulement comprit ce qu'elle voulait dire. Car dans sa propre tête, cela restait flous.


William Dyers

02-02-2023 01:20:24

Oria ne paru pas étonné par ma réponse mais plutôt troublée, comme si quelque chose n'allait pas. Elle s'excuse pour avoir proposé cela tout haut et ne semble plus vouloir réaliser cette idée. Je m'apprête à lui dire que ce n'est pas grave, que je comprends, qu'il y aura surement d'autres occasions mais je la vois se lever soudain et commencer à faire les cents pas.

Elle commence alors à faire un monologue en semblant chercher un sens profond à mon geste, une signification cachée au rapport que cela implique entre nous. Je la suis du regard, très étonné, incapable de l'interrompre. Lorsqu'elle marque une pause et que je lève le doigt, m'apprêtant à prendre la parole mais le moulin à parole reprends. Une seconde fois. Puis une troisième. Finalement, elle s'interrompt et ne semble pas bien plus avancée qu'auparavant.

  • Attends, j'ai raté un wagon je crois. Ce n'est une forme de préliminaire pour t'amener dans mon lit. Enfin je ne sais pas pour toi, mais je trouve juste l'idée de lécher ta peau à la fois sensuelle et amusante. Il n'y a pas un engagement à autre chose derrière. Au mieux un comparatif entre le whisky sur vergeture et le whisky sur cicatrice.

Si j'ai surement raté des pans de la réflexion de la lapine, je n'ai pas raté la partie concernant la cheminée. Je me lève donc de ma chaise et vais allumer la dites cheminée. Pas de complications à base de buche à aller chercher, de feu à allumer, de trappe d'évacuation à ouvrir. J'appuie sur une simple bouton et FROUF, une flamme jaillis au centre de la cheminée, éclairant la pièce de manière irrégulière. Je fais un signe de la tête à Oria pour qu'elle revienne ici

  • Aller vient, allonge toi sur la peau de b... Bon sur le tapis devant la cheminée et montre moi où tu as envie de sentir ma langue. On va voir comment il est meilleur ce whisky.

Oria Levenski ~ Responsable des esclaves

02-02-2023 07:46:48

Elle avait bien vu son index se lever durant son monologue, comme un écolier attendant sagement qu'on lui donne sa parole. Et heureusement qu'il ne l'avait pas coupé dans sa parole parce que ça aurait vraiment mis le bazars dans sa tête. Calmant sa respiration qui c'était légèrement accéléré, à son tour elle l'écouta tout en s'appuyant contre son bureau.

Sur le moment elle se sentait extrêmement stupide, son cerveau fonctionnait trop vite et du coup interprétait tout de travers. Après on va pas se mentir que parler d'un potentiel mariage avec elle n'avait en rien aidé son cerveau. L'observant allumé la cheminé, elle eu un petit sourire. Au moins dans sa tirade il avait relever un point. Elle viendra même à légèrement rire à l'évocation d'une potentiel peau de bête qui n'était pas présente. Observant son verre quelques instant, cherchant surement une réponse dans l'alcool, la lapine se détacha du bureau pour s'approcher de William. Etrangement, même avec de l'alcool dans le sang, son russe était encore bon.

- Ce whiskey va me mener à ma perte.

Elle viendra à s'assoir devant le feu, le regardant en souriant avant de reprendre une petite gorgé. La gorgé qui lui donna assez de courage pour retirer son débardeur rouge. Dévoilant ainsi une magnifique lingerie rouge aussi, avec petit charme doré entre ses seins. Déjà juste ça c'était une étape pour elle alors qu'elle levait les yeux vers le blond, les oreilles plaquer sur le côté.

- En espérant que ce ne soit pas du gâchis ..


William Dyers

02-02-2023 19:15:16

Les yeux d'Oria suivent mon mouvement et j'arrive même à lui arracher un rire quand elle me voit réaliser qu'il n'y a pas de peau de bête sur le sol. Je crois que pour l'un comme pour l'autre, l'alcool commence à faire son oeuvre. La lapine vient vers moi en reprenant en russe cette fois et viens s'asseoir près du feu, souriante. Je m'installe moi aussi, ressentant déjà la chaleur du foyer maintenant allumé.

Après avoir repris une gorgée de whisky, la jeune femme retire son débardeur avant même que je le réalise. Avec un regard très intimidé, elle me regarde en coin en restant sur le russe et semble bien décidée à tenter l'expérience. Je fais un sourire et pose une main sur son genou tout proche pour la rassurer

russe - Ne t'en fais pas, pour moi aussi c'est une première mais je serais doux. Si ça ne va pas, tu aura juste à me le dire.

Je me rapproche un peu de mon employée, lui retirant le verre des mains pour le poser au sol. Je viens la prendre par les épaules et la pousse délicatement sur le tapis derrière elle pour l'y allonger. Beaucoup plus pratique à mon sens, même si j'imagine facilement qu'elle souhaite se retourner un moment. Puis, je ramène le verre près de sa main droite, non sans y avoir tremper le bout de l'index.

russe - permets que je commence

Sans attendre de réponse ou d'approbation, je passe mon doigt imbibé d'alcool sur une de ses vergetures puis me penche sur elle pour venir la lécher de bas en haut, appuyant toute ma langue sur cette marque de peau. Je la suis, sentant le mélange d'alcool et de la peau de la lapine. Loin d'être mauvais. Je me redresse ensuite avec un sourire et la regarde, attendant de voir où elle souhaite amener le jeu.


Oria Levenski ~ Responsable des esclaves

02-02-2023 22:28:58

La responsable observa du coin de l'oeil son patron s'installer à ses côtés avec un petit sourire. Sa main sur son genoux viendra la rassurer et la mettre un peu plus en confiance. William était des plus délicats avec elle, et sa voix paraissait plus .. sensuelle quand il parlait dans sa langue natale. A moins que ce ne soit l'alcool qui lui fasse penser cela ?

Doucement il viendra à lui prendre son verre des mains avant de l'allonger sur le sol. Elle aurait pus avoir froid dans cette tenue mais la cheminé la réchauffait, ainsi que le whiskey qui coulait dans son corp. Les jambes légèrement replié, son ventre plat et toute ses vergetures à la vue du blond. Par reflexe elle viendra poser ses mains sur sa poitrine pour la cacher un peu tout en l'observant dans les yeux.

Hochant timidement la tête quand il viendra à commencer, elle rentra légèrement le ventre quand il déposa la première goute d'alcool qui coula le long de sa cicatrices. La sensation était froide mais elle fut rapidement remplacer par la langue beaucoup plus chaude du blond. Un couinement se fit légèrement entendre, ainsi que le frottement frénétique de son pon-pon contre le tapis.

- A .. Alors .. ?

Les rougeurs étaient toujours présente sur ses joues et elle rêvait a ce moment la de se cacher avec ses oreilles mais la vision qu'elle avait était beaucoup trop belle pour ça.


William Dyers

02-02-2023 23:11:17

La situation est pour le moins sensuelle. Une jolie femme et moi, allongés devant une cheminée avec assez d'alcool dans le sang pour ne plus ressentir d'inhibition. Ma langue qui passe sur sa peau, lentement, longuement. Elle a le goût du whisky avec... Un fond de noisette ou d'amande je dirais.

Heureusement que je suis très doux avec elle car la lapine est encore très tendue. Ses mains cachant ses seins, ses jambes repliées, prête à se mettre en boule et ce petit couinement des plus adorable lorsque ma langue est entré en contact avec sa peau... Pourtant, maintenant au dessus d'elle, je vois le bout de sa petite queue remuer et elle trouve le courage de me demander mon avis. Je fais mine de réfléchir

  • Hum... Difficile à dire. C'était bon mais je pense qu'il faut confirmer la chose plusieurs fois pour se faire un réel avis.

Je trempe à nouveau mon doigt dans son verre tout en parlant et reproduit mon geste sur une autre vergeture près de son flanc droit. A nouveau, mon doigt suis sa peau, suivi pas ma langue. Je sens du bout de ma langue le creux formé par la vergeture, chose qui me fait sourire et une fois au bout de celle ci, je remue un peu ma langue sur place avant d'y poser un bisou.

  • Hum, vraiment pas mal, meilleur même. A toi cette fois, laquelle je dois essayer ensuite ?

Oria Levenski ~ Responsable des esclaves

02-02-2023 23:52:36

William avait une lueur dans son regard qui n'était pas la avant qu'elle ne se retrouva allonger. Elle avait l'impression que le russe trouvait cette situation .. Amusante ? Ou bien excitante ? Elle ne savait pas vraiment sur le moment. Néanmoins ses rougeur étaient toujours présente.

A sa question ou il fit mine de réfléchir, elle rigola légèrement. Enfaite son patron était un joueur, il connaissait déjà la réponse et voulait juste prendre plaisir à recommencer. Elle déplia timidement sa jambe droite alors que son corps frissonnait sous sa langue. Ce qui la surpris par contre c'était son petit bisou, tendre et en même temps adorable.

  • Il ne faudrait pas trop y prendre gout alors ..

Alors qu'elle parlait, elle avait retirer la main poser sur son sein gauche. Son propre verre étant posé non loin d'elle, Oria viendra y tremper son index avant de suivre une de ses vergeture proche de son nombril.


William Dyers

03-02-2023 00:11:36

Le second coup de langue est mieux accepté et j'ai l'impression que la lapine commence déjà à mieux l'accepter. Elle rit a mes pointes d'humour, le laisse lécher son ventre et commence tout juste à se détendre. Comprenant que je voulais vraiment qu'elle participe au jeu, elle abandonne le masquage d'un de ses seins pour venir tremper son doigt dans le whisky et le passer sur une de ses vergetures comme je l'ai fais.

russe - Continue comme ça et je ne boirais plus mon whisky autrement.

**Je pouffe de rire de ma propre phrase. Le simple fait de parler russe m'amuse mais je me reprend rapidement avant que le liquide ne s'écarte. Je commence même un peu plus bas cette fois, ma langue partant d'au dessus de son pubis, à la frontière de son pantalon et remontant doucement vers son nombril. Je suis le chemin qu'elle m'a désigné du bout de la langue et lorsque j'arrive à son nombril, j'en fais le tour avant de reprendre le chemin tracé sur sa peau. Je me redresse avec un sourire **

  • Le looping autour du nombril ajoute beaucoup. Comment ça se passe pour toi, c'est agréable aussi ?